Des produits du cigarettier Japan Tobacco International qui représenteraient moins de 1 % du marché de la vape aux États-Unis.
Cette année encore, le pays atteint un nombre de fumeurs historiquement bas. La cigarette électronique n’est pas citée parmi les raisons de ce succès.
L’industrie de la vape qui l’utilisait pour contourner l’interdiction de vente de ses produits devra désormais trouver une nouvelle parade.
Grâce à la diversification de leur offre, les vape shops américains semblent doucement se remettre de leurs mauvais résultats de l’année passée.
En attendant de savoir si la FDA pourra interdire la nicotine synthétique, certains États décident de la bannir de leur propre chef.
Le fabricant Sigelei a été sommé par la FDA de retirer de la vente tous ses produits non autorisés sur le territoire américain.
Malgré des sollicitations de la part d’experts indépendants, le milliardaire continue de refuser toute rencontre et campe sur sa position antivape.
Cet article ayant été rédigé par un vapoteur, il pourrait contenir de nombreuses fautes en raison de sa déficience visuelle.
Une loi qui forcera les vendeurs de cigarettes électroniques à proposer des produits dont l’efficacité a été reconnue comme moindre par la science.
Un projet de loi vise à confier à la FDA, toute autorité sur la nicotine synthétique, dernier moyen pour l’industrie de la cigarette électronique d’exister.
Alors que la vape continue d’être dénigrée, la FDA reconnaît la réduction des risques d’un nouveau produit, des cigarettes contenant moins de nicotine.
Selon le site ClinicalTrials.gov, plus de cent essais cliniques sur le cannabidiol (CBD) sont en cours aux États-Unis, à la mi-novembre 2021.
Un antivape notoire qui a, par le passé, fait part de sa volonté d’interdire les arômes et de réglementer la cigarette électronique comme un médicament.
Une victoire pour le cigarettier Reynolds qui accuse Philip Morris d’avoir violé certains de ses brevets lors de la conception de l’IQOS.
La complexification de l’accès au vapotage y est-il pour quelque chose ? Difficile de n’y voir qu’une simple coïncidence.
Le cigarettier R.J Reynolds devient le premier à avoir l’autorisation officielle de vendre des produits de la vape sur le marché américain.
Certains accusent l’entreprise de proposer un produit tout en sachant qu’il est nocif pour la santé, comme l’a fait en son temps l’industrie du tabac.
La nicotine synthétique, prouesse de laboratoire, s’est muée en épine réglementaire dans le pied de la FDA.
Plus d’un million d’e-liquides ont à nouveau été refusés par l’organisme de santé. Le vapotage aromatisé pourrait bien être sur le point de disparaître.
A 8 jours de la date limite pour demander une autorisation de vente, la FDA conseille aux liquidiers de faire réaliser des études scientifiques impossibles.