Un projet de loi vise à confier à la FDA, toute autorité sur la nicotine synthétique, dernier moyen pour l’industrie de la cigarette électronique d’exister.
Alors que la vape continue d’être dénigrée, la FDA reconnaît la réduction des risques d’un nouveau produit, des cigarettes contenant moins de nicotine.
Selon le site ClinicalTrials.gov, plus de cent essais cliniques sur le cannabidiol (CBD) sont en cours aux États-Unis, à la mi-novembre 2021.
Un antivape notoire qui a, par le passé, fait part de sa volonté d’interdire les arômes et de réglementer la cigarette électronique comme un médicament.
Une victoire pour le cigarettier Reynolds qui accuse Philip Morris d’avoir violé certains de ses brevets lors de la conception de l’IQOS.
La complexification de l’accès au vapotage y est-il pour quelque chose ? Difficile de n’y voir qu’une simple coïncidence.
Le cigarettier R.J Reynolds devient le premier à avoir l’autorisation officielle de vendre des produits de la vape sur le marché américain.
Certains accusent l’entreprise de proposer un produit tout en sachant qu’il est nocif pour la santé, comme l’a fait en son temps l’industrie du tabac.
La nicotine synthétique, prouesse de laboratoire, s’est muée en épine réglementaire dans le pied de la FDA.
Plus d’un million d’e-liquides ont à nouveau été refusés par l’organisme de santé. Le vapotage aromatisé pourrait bien être sur le point de disparaître.
A 8 jours de la date limite pour demander une autorisation de vente, la FDA conseille aux liquidiers de faire réaliser des études scientifiques impossibles.
Une association a mis au point une méthode pour réaliser certaines analyses scientifiques demandées par la FDA, à moindre coût.
Pour eux, il faut que la communauté de la santé publique prête plus attention au potentiel de la vape en tant qu’aide pour arrêter de fumer.
29 procureurs généraux somment la FDA de rejeter toutes les demandes de mises sur le marché des produits de la vape aromatisés.
Depuis 2018, la cigarette électronique semble être préférée au tabagisme chez les 18-29 ans. Une bonne nouvelle pour la réduction des risques.
Sur les 926 professionnels de santé interrogés, près de 75 % pensent qu’elle est responsable de provoquer des cancers ou des maladies pulmonaires.
Une décision expliquée par l’incertitude juridique qui tourne autour du produit du tabac chauffé aux États-Unis.
Les chercheurs d’une grande université ont mis au point un… jeu vidéo destiné à alerter les jeunes sur « les dangers de la cigarette électronique ».
Seuls 8 % des systèmes ouverts pourraient rester sur le marché. 85 % des petites entreprises se retrouveraient en difficulté.
Accompagnés par l’American Vaping Association, ils accusent la société de livraison d’être influencée par l’argent des lobbies.