Le vapotage chez les jeunes


17 %

C’est le nombre de jeunes adultes qui vapoteraient aux États-Unis.

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14 %

C’est le taux de jeunes adultes qui fumeraient aux USA. Un taux plus faible que celui des jeunes qui vapotent !

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1,2 %

C’est le taux de mineurs qui vapoteraient au Royaume-Uni, pays qui fait pourtant la promotion de la cigarette électronique au quotidien.

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6,2 %

C’est le taux moyen de mineurs qui fumeraient à San Francisco, qui a interdit le vapotage, alors qu’il n’est que de 2,8 % ailleurs.

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La vape remplace doucement le tabagisme

L’un des grands axes de la lutte contre le tabagisme se concentre sur la protection des jeunes, car plus on commence tôt à fumer, et plus on est enclin à développer une dépendance au tabac fumé. La cigarette électronique, en soulevant des craintes similaires (voir la théorie de passerelle), suscite d’intenses débats réglementaires et politiques.

Vapotage et jeunesse

Si le vapotage des mineurs reste très marginal dans la plupart des pays, il est considéré comme une « tragédie de santé publique » aux États-Unis.

En septembre 2019, un sondage réalisé par le CDC indiquait que plus d’un jeune sur quatre avait vapoté au cours des 30 derniers jours aux USA. Un chiffre depuis utilisé afin de justifier de nombreuses politiques anti-vape dans le pays.

Si le vapotage des mineurs peut en effet être considéré comme un problème, le souci qu’il soulève l’est tout autant : doit-on priver des millions de fumeurs adultes, de l’outil de sevrage tabagique le plus efficace à ce jour, afin d’empêcher les plus jeunes d’avoir accès à la cigarette électronique ?

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