À propos de Guillaume Bailly

Guillaume Bailly

La vape de Guillaume Bailly

Vape depuis : Octobre 2011

Matériel favori : Rhea X Aspire et Tripod Atmizoo

E-liquide favori : Charlemagne 814

Biographie

Après un parcours universitaire en lettres, j’ai multiplié les expériences professionnelles avant de saisir l’opportunité de devenir journaliste spécialisé, et de publier en parallèle plusieurs livres aux Éditions de l’Opportun. Un des tournants de ma vie a été l’année 2011, où la découverte de la vape, pourtant très rustique à l’époque, m’a permis de passer d’une consommation quotidienne de 40 cigarettes à zéro.

Tout d’abord lecteur assidu du Vaping Post, j’en suis devenu collaborateur occasionnel, avant de rejoindre la rédaction à temps plein en 2017. Avec pour mission de traiter l’actualité, principalement politique et institutionnelle de la vape, et son image dans la société, avec l’autorisation d’user de petits missiles d’ironie à bon escient. Mon point fort est de m’être créé un réseau d’experts dans des domaines spécifiques, capables de m’apporter des réponses précises à des questions parfois pointues.

Depuis 2019, je travaille une journée par semaine dans une boutique de vape, afin d’être en contact avec le terrain, avec les fumeurs souhaitant se sevrer grâce au vaping, leurs problématiques spécifiques, et surtout leurs réussites.

Une cigarette électronique n’est pas la baguette d’Harry Potter, elle ne fait pas de miracles et n’arrête pas de fumer à votre place. C’est un outil extrêmement puissant si l’on sait s’en servir, et elle peut faire une grande différence pour un fumeur désireux de se sevrer. Le tabagisme agit sur la santé, mais aussi sur les finances, et, on en parle trop peu, sur sa vie sociale parfois.

Mon métier, tel que je le vois, est d’apporter au fumeur l’information la plus claire et la plus loyale possible sur cet outil et la façon de l’utiliser, afin qu’il puisse prendre librement et de façon éclairée la décision de se sevrer grâce à la vape, ou à un autre moyen qui lui conviendra mieux.

Moitié breton, moitié franc-comtois, je suis installé dans le Finistère.

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