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France : Alfaliquid, D’lice et VDLV dominent le marché du e-liquide en boutique

Mis à jour le 26/07/2024 à 11h03
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Le cabinet de veille économique Ecig Intelligence a traité les premières données de son étude sur les boutiques spécialisées françaises. Menée à l’aide d’un questionnaire en ligne, l’enquête repose sur les réponses de 165 propriétaires de magasins qui ont permis aux analystes britanniques de dessiner les grandes lignes du marché de la vape en boutique. Vaping Post vous présente les premiers résultats.

La vente de e-liquide représente 60% des ventes en boutiques

Pour un chiffre d’affaire moyen de 24 000 euros mensuel, les boutiques spécialisées françaises baseraient leur revenu en majeure partie sur la vente de e-liquides. Parmi les marques qui se vendent le mieux se placent les sociétés Alfaliquid, D’lice et VDLV. Le volume de vente des e-liquides oscille entre 1500 et 2000 flacons par mois.

Côté saveurs les traditionnels goûts classic, fruités et menthol prennent le dessus sur les boissons, desserts ou bonbons, pour un taux de nicotine de 6mg/ml. Il est intéressant de noter que les e-liquides sans nicotine et ceux en 12mg/ml semblent se vendre dans les mêmes proportions. Même constat pour le 3mg/ml et le 18mg/ml.

Le matériel reste dominé par les chinois

Ecig Intelligence rapporte que les marques les plus vendues en boutiques sont Eleaf, Joyetech, Kangertech, Aspire et Smoktech. Les proportions selon le type de matériel (atomiseurs ou mods/batteries) varient en revanche selon le fabricant. Aspire serait par exemple plus populaire pour ses clearomiseurs alors que Joyetech séduirait d’avantage la clientèle avec ses mods ou batteries.

Les vendeurs restent optimistes

Dernier point évoqué dans le premier rapport d’Ecig Intelligence, 90% des professionnels en boutiques ont exprimés leur confiance quant à l’avenir du marché, bien que les effets de la directive européenne auraient ralenti le développement de leur business, amoindri les stocks, et impacté négativement le temps généralement passé à l’amélioration de leurs services.

Pour aller plus loin

PGVG magazine suit régulièrement l’évolution du nombre de boutiques en France.