Annonce
Les articles de notre journaliste, vendeur dans un vape shop
La réalité du commerce
1 jour par semaine, un membre de la rédaction va travailler dans le vape shop d’une petite ville afin de se confronter à la réalité du terrain. Dans cette rubrique, il livre ses observations et anecdotes.
Se confronter au terrain
Difficile de parler d’un produit lorsqu’on ne le connaît pas. Et quoi de mieux pour le connaître que de le vendre ? Voilà l’une des motivations de Guillaume, journaliste au Vaping Post, pour occuper le poste de vendeur dans un vape shop chaque semaine.
Un travail qui lui permet de partager sa passion de la cigarette électronique, de prôner la réduction du risque tabagique à tous les fumeurs franchissant la porte de son échoppe, mais aussi de rapporter diverses anecdotes qu’il vit lors de cette expérience.
Les dernières chroniques du shop
Consultez ci-dessous l’ensemble de ces petits articles parlant du quotidien d’un magasin de cigarette électronique.
Leçon de sagesse
Dans ces cas-là, il ne sert à rien d’expliquer. La sagesse du vendeur le dit : il y a des batailles qu’il faut savoir perdre
Et bonne journée
En l’honneur de ces clients que j’aime, sincèrement, mais qui parfois me rendent chèvre.
L’enfer
L’épouse du client n’est pas dupe, elle me jette un regard de pitié. Son époux m’avait dit qu’il aimait mélanger les liquides.
Union sacrée
Pour réussir cette petite pièce de triomphe, il faut réunir trois ingrédients. Des vendeurs compétents, du monde dans la boutique, un nouveau client.
Festivals estivaux
À quoi sert la musique ? À rendre les gens heureux. À quoi sert la vape ? À leur permettre d’en écouter plus longtemps.
Une signature ?
Certains clients de vape shops rechignent à signer une pétition pour défendre la cigarette électronique, allez comprendre.
Répétez après moi, « j’aime mes clients »
Si la plupart des clients sont assez sympathiques, il y a des cas qu’on aime à se raconter entre vendeurs.
Dans ta tête, zombie, zombie…
Et ils sont là, devant la vitrine, à cinq minutes de l’ouverture et de la délivrance. Les clients du vape shop qui manquent de matériel.
Tu es unique, comme tous les autres
Mine mi-déconfite, mi-renfrognée, le client boude. Et vous ne pouvez pas lui jeter la pierre : il n’y a plus son liquide favori.
Peut-on envoyer promener ses clients ?
Parfois, c’est irrésistible : on est face à une personne que l’on a irrépressiblement envie d’envoyer promener.
Il n’y a plus de saisons
La vape saisonnière, ça n’existe pas. C’est du moins la conclusion que j’ai tirée de ces dernières semaines au magasin.
Oui maman !
La dame entre dans le magasin d’un pas décidé, suivie d’un petit jeune. “Je viens acheter une vape pour ce petit con !”.
Comment devenir un fanatique en une leçon
Les conseillers, dans les boutiques de vape, sont très souvent au fait de l’actualité autour de leur sujet de prédilection.
Le tonnerre où on ne l’attend pas
C’était un dimanche après-midi paisible, quand soudain, sans prévenir, l’accu qui charge sur le meuble télé dégaze.
La jeunesse est un naufrage
On dira ce qu’on veut sur la jeunesse d’aujourd’hui, il faut lui reconnaître une certaine forme d’opiniâtreté.
Roman de science-fiction
Quand, il y a bientôt deux ans, on m’a confié cette chronique du shop, jamais je n’aurais imaginé qu’elle dépasserait une page par numéro.
Partie en fumée
“Vous avez repris”, dis-je. C’est un constat, et je ne cherche même pas à cacher ma déception.
Les boutiques, SAV des mauvais sites ?
Les clients de vape shop, disons-le, sont parfois un tantinet de mauvaise foi. Les aventures d’un vendeur de cigarettes électroniques.
La vape libre, c’est top mais…
“Vous avez des résistances pour ça ?”. La seule réponse qui vous vient à l’esprit, c’est “Bon sang, c’est quoi ce truc ?”.
Y a d’la joie !
Il existe un paradoxe dans les shops de vape : les clients qui entrent pour se renseigner. Ces derniers existent et n’existent pas à la fois.
Genève, Suisse
