Vous êtes ici : Vaping Post » Etudes sur la cigarette électronique » Le Vidal s’intéresse à la cigarette électronique

Le Vidal s’intéresse à la cigarette électronique

    Annonce

Vidal, l’information de référence sur les produits de santé, a aussi évoqué les conclusions de la méta-analyse publiée dans la revue addiction fin juillet.

Faible nocivité par rapport au tabac, résultats prometteurs dans le sevrage

Etudes sur la cigarette électronique : faible nocivité par rapport au tabac, résultats prometteurs dans le sevrage

Etudes sur la cigarette électronique : faible nocivité par rapport au tabac, résultats prometteurs dans le sevrage“. Un article à lire sur Vidal.fr

Premièrement, rien ne tend à prouver qu’il existe des effets indésirables sérieux pour les vapoteurs. Il est juste important de prévenir les ingestions d’e-liquide, potentiellement dangereuses voire mortelles selon les dosages (encore que la dose létale soit discutable).

Ensuite, on apprend d’après les spécialistes à l’origine de ces études que les produits potentiellement toxiques dans la cigarette électronique sont “beaucoup plus faibles que dans la fumée du tabac“.

Par ailleurs, il faut savoir que les fumeurs se mettent de plus en plus à vapoter, il s’agit donc bien d’une aide au sevrage qui remporte l’adhésion des personnes qui désirent arrêter la cigarette traditionnelle. 12 à 14% des personnes qui ont expérimenté la clope électronique seraient devenues des utilisateurs réguliers. Le dispositif semble efficace pour un large public puisqu’une forte proportion des vapoteurs déclare avoir diminuer leur tabagisme voire arrêter totalement la cigarette (de 42% à 99% des répondants).

Les auteurs de la méta-analyse estiment que la cigarette électronique a un impact positif sur la santé publique. Il y a peu de non fumeurs qui se mettent au vapotage et les dangers potentiels de l’e-cigarette ne doivent pas “empêcher son déploiement“. Ils appellent néanmoins à la poursuite des études qui permettraient d’en savoir plus sur la sécurité des produits.

On pourra se demander en revanche pourquoi le Vidal s’intéresse de si près à un produit qui n’est pas un médicament.