Retraçant le parcours médiatique du dernier communiqué de la DGCCRF, le magazine libéral Contrepoints accuse l’organisme de contrôle d’avoir sciemment publié un document alarmiste. “Le service de communication était parfaitement conscient des retombées qu’il allait provoquer” commente Kévin Mailly, un jeune entrepreneur qui publie régulièrement dans les colonnes de ce journal en ligne.
Censé pré-mâcher le travail des journalistes, le service de presse de la DGCCRF qui a été contacté par Sciences et Avenir en début de mois, s’avoue étonné de l’interprétation qui a été faite du communiqué de presse. “Le service de presse s’étonne candidement que les médias ne retiennent que les chiffres mis en avant dans l’introduction du communiqué” explique Kévin Mailly, qui souligne dans son article la maturité d’un marché de la vape en France.
Un article à lire sur Contrepoints.org : E-cigarette : l’emballement médiatique qui cache l’essentiel
Contrepoints avait récemment publié les propos de Frédéric Sautet, docteur en Science Économique de l’Université de Paris Dauphine, qui considère que les taxes sur l’e-cigarette seraient une erreur dans la lutte contre le tabagisme.
Moi aussi je m’étonne candidement…
oui oui oui moi aussi je m’étonne candidement, surtout à propos la date de diffusion de ce communiqué, qui nous transmet des résultats d’enquête périmés datant de 2014, (soit avant que les normes actuelles aient été mises en place) et ce pile au moment où ça prenait des décisions sur le tabac/vape/santé … juste après que la ministre de la santé se soit fait jetée avec son paquet neutre au sénat…. mais quel curieux hasard vraiment !!!
Aaaaaoooooooooh Bon???
Y a pas de terme courtois pour faux cul
Rappelons-nous le buzz que Que Choisir il y a deux an, avec “La cigarette électronique, pas si inoffensive que ça!” Ce que tout le monde a compris comme “La cigarette électronique est dangereuse”. Tout est dans le vocabulaire, accrocheur comme il se doit. L’avantage, c’est que cela déclenche de belles levées de bouclier. L’inconvénient c’est que la première info laisse toujours des traces. On n’a toujours que le petit bout émergé de l’iceberg, et le quidam moyen est trop frileux (ah ah) pour plonger voir le reste.