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L’université du Montana a récemment modifié son règlement intérieur afin d’y inclure l’interdiction de vapoter sur son campus.
“Aucune preuve que la vape est moins dangereuse que le tabac”
Les vapoteurs de la University of Montana en avaient peur, et c’est maintenant chose faite. Il leur est désormais interdit de vapoter sur le campus de leur lieu d’étude. Une nouveauté qui vient compléter l’interdiction de fumer dans l’université, votée 7 années auparavant.
Comme souvent dans ces cas-là, le point le plus dérangeant n’est pas le fait d’interdire la vape, mais bien les raisons qui ont poussé l’université à le faire.
C’est ainsi que Linda Green, directrice du bien-être au Curry Health Center faisant partie de l’université, a déclaré que si elle se réjouissait en effet de la baisse du taux de tabagisme sur le campus depuis la popularisation de la vape, il n’a tout de même “pas été prouvé que la vape est moins nocive que le tabagisme”.
Des propos pour le moins contradictoires.
Pour rappel, selon le ministère de la santé britannique, le vapotage serait au moins 95 % moins nocif que les cigarettes de tabac. Une notion qui a bien du mal à être comprise aux États-Unis, pays continuant de considérer la vape comme un produit du tabac.
Dans les autres universités américaines
Genève, Suisse
