Test : Sonder Q – GeekVape

Si vous ne fumez pas, ne vapotez pas.

Vape facile

Si le Sonder Q reste visuellement classique, il se montre plutôt performant dans la vape qu’il procure. Entièrement automatique, une simple inhalation produit la vapeur. Compatible avec les cartouches Q, disponibles en 3 versions, le Sonder Q est simple à prendre en main pour se lancer dans le monde du vaping !

Caractéristiques techniques

Dimensions du pod	108,91 x 23,8 x 13,7 mm
Poids du pod	40.5 g
Charge	USB-C
batterie	1000 mAh
Plages d'utilisation	automatique
Capacité du réservoir	2 ml

Le coffret comprend :

• Pod
• Cordon USB
• Mode d'emploi

Simple et pratique

Sans bouton et sans le moindre réglage, le Sonder Q fonctionne en mode automatique. Il détecte la valeur de la résistance pour délivrer la puissance la plus adaptée. Le revêtement qui recouvre le corps de la batterie est légèrement structuré pour un excellent confort en main. Le pod ne glisse pas. Sur la face principale, une petite plaquette à effet miroir rappelle le nom du pod. Lorsque le Sonder Q est en charge ou en fonctionnement, les lettres s’illuminent et indiquent, selon la couleur, le niveau de charge restant dans la batterie. La vapeur est produite par simple inhalation. Nous n’avons pas constaté de latence entre l’inhalation et production de vapeur.

Sur une arête du Sonder Q, une connectique USB-C permet la recharge rapide de la batterie de 1000 mAh. Au regard du format du pod, l’autonomie est dans la moyenne des produits présents sur le marché. Il est possible de vapoter pendant la phase de chargement.

Sur la tranche opposée au port USB-C, une glissière permet de moduler le volume d’air qui refroidit la résistance placée dans la cartouche. Le réglage offre suffisamment de fermeté pour ne pas bouger de lui-même en situation de transport.
Avec la cartouche fournie, en réduisant le volume d’air, on obtient un tirage indirect (bouche puis poumons comme une cigarette de tabac). En autorisant un plus gros volume d’air à entrer dans le Sonder Q, le tirage se montre plus aérien. On peut s’autoriser une inhalation directe très restreinte. C’est une bonne option pour varier les sensations selon les moments de la journée.

Classiquement, la cartouche se loge sur la partie supérieure de la batterie. Elle est maintenue par deux aimants puissants dont le magnétisme ne laisse place à aucun jeu latéral. La cartouche contient une résistance scellée. C’est notre seul regret sur le Sonder Q ! Quand la résistance doit être remplacée, il faut jeter toute la cartouche et en placer une neuve.

Pour remplir le réservoir de 2 ml, il faut retirer l’embout buccal en exerçant une pression latérale dessus. Ce dernier est de forme aplatie et est adapté à la fois à l’inhalation indirecte ou directe restreinte en laissant passer le volume de vapeur adéquat.
L’orifice de remplissage dispose d’une fine pellicule en silicone dans le réservoir pour éviter au liquide de s’écouler quand le pod est « tête en bas ». Il faut privilégier les embouts de flacon fins pour plus de confort et éviter tout débordement.

Le Sonder Q est fourni avec une cartouche de la série Q. Avec une valeur de 0,8 ohm, elle s’utilise entre 12 à 18 W. Le pod est compatible avec les cartouches de 0,6 et 1,2 ohm de la même série pour une vape plus aérienne ou bien plus serrée. Aucune fuite n’a été constatée pendant nos tests ni le moindre suintement.

Les saveurs sont bien au rendez-vous avec les nouvelles résistances de la marque. C’est précis et net. Lors de nos tests, c’est sur des e-liquides aux saveurs fruitées que nous avons obtenu les meilleurs résultats.

Le Sonder Q est un bon pod qui ne demande pas de réelles compétences dans le vapotage pour en tirer le meilleur.

En résumé

Conclusion

Le Sonder Q en images