Vous êtes ici : Vaping Post » Communauté » L’AIDUCE s’attaque au sujet de la vape sur les lieux de travail

L’AIDUCE s’attaque au sujet de la vape sur les lieux de travail

Mis à jour le 7/09/2022 à 9h12
    Annonce
  • Calumette
  • le petit vapoteur
  • Pulp
  • Vaporesso
  • Innokin

L’AIDUCE interpelle l’INRS sur sa position quant au vapotage en milieu professionnel. L’association demande en effet à cet organisme de revoir son opinion présentée dans le document QR75 sur l’utilisation du vaporisateur personnel sur les lieux de travail.

La réduction des risques interdite au bureau

L'absence de données toxicologiques justifie l'interdiction de vaper sur les lieux de travail selon l'INRS.

L’absence de données toxicologiques justifie l’interdiction de vaper sur les lieux de travail selon l’INRS.

Il faut savoir également que l’ANSM (anciennement Afssaps) ne préconise pas l’utilisation de l’e-cigarette alors que de nombreux experts du tabagisme et des professionnels de santé estiment qu’il s’agit d’un instrument efficace dans la lutte contre le tabac.

L’AIDUCE pose ainsi la question suivante : en quoi une recommandation de cette agence vers les individus devrait-elle amener un employeur à interdire l’usage de ce produit ?

L’association évoque dans un premier temps les travaux de Farsalinos et d’Etter/Hajek où sont notamment présentés et argumentés les bienfaits apportés par la cigarette électronique pour les fumeurs. Brice Lepoutre et l’AIDUCE continuent dans un second temps en affirmant qu’il existe aujourd’hui bien des différences physiques qui permettent de distinguer aisément un vaporisateur d’une cigarette traditionnelle.

L’INRS ne peut plus selon eux, avancer l’argument de l’absence de données toxicologiques. Nous connaissons de mieux en mieux la composition des produits disponibles dans le commerce, seul un doute persiste quant au vapotage à long terme.

Puis un rappel est effectué sur les effets du Propylène glycol, les risques sont minimes pour les utilisateurs et nuls pour les personnes se situant à proximité des vapoteurs. Par ailleurs, l’AIDUCE souhaite lever les doutes quant au glycérol, substance non dangereuse présente dans la cigarette électronique mais également dans les aliments que nous consommons au quotidien.

L’INRS évoque la nocivité de la nicotine avec inexactitude. Ce composant n’est pas dangereux en lui-même, ce sont les doses (et la manière dont il est absorbé) qui peut le rendre nocif. Les anciens fumeurs savent généralement “doser” correctement, et ils peuvent être conseillés par des vendeurs en boutiques spécialisés s’ils ont le moindre doute à ce sujet.


16 réponses à “L’AIDUCE s’attaque au sujet de la vape sur les lieux de travail”

  1. Tony Fiant dit :

    Aucun argument comme d’habitude. Quant au surdosage, il peut survenir n’importe quand, lieu de travail ou pas.
    Et, même en cas surdosage, vous allez avoir d’abord mal à la tête, le pouls et la tension plus élevés, point.
    Vous avez un problème cardiaque, et bien c ‘est simple, pas de vape et encore plus important, pas de tabac !
    Vous buvez 3 cafés et un litre de coca, c’est pareil mais avec la caféine.
    Quant au PG, quand on voit le nombre de substances qu’inhalent quotidiennement de nombreux salariés (chimie, industrie, transport, etc.), je pense qu’ils devraient d’abord s’inquiéter des autres substances générées par leur activité.

    • Sharplosc dit :

      clair
      Ils se détournent des vrais problèmes …
      Si la vapote ferait mieux travailler et plus vite t’inquiète pas que ce serait autorisé, voir même obligatoire dans certaines entreprise.
      Les moteurs thermique devraient être eux aussi interdit … car la fumée dégagé est cancérigène …
      Les politiques jouent aux personnes soucieuse de notre santé mais c’est faux. Au lieu d’éliminer les vrais cause de maladie grave ils préfèrent ouvrir de nouveaux centres contre le cancer avec des machines de plus en plus perfectionnés.
      Pognon pognon pognon … ça coûte moins chers de soigner les gens que les garder éloignés des (vrai) risques.

  2. Céline Djibaoui dit :

    On va encore me prendre pour un anti vape mais perso ça me choque pas.
    Certes je pense que le risque est très minime voire inexistant pour les “vapeurs passifs”.

    Ceci dit ça dérange certaine personne quand même, même si c’est certainement psychologique, qui se plaignent de maux de tête etc, même si ces personnes sont des chieuses j’pense pas qu’on puisse leur imposer nos vapeurs. Certaines personne peuvent être allergique au PG. Et y’a un bien un moment ou faut mettre des limites parce qu’il y aura toujours des cons pour abuser (pourquoi j’irais pas faire du power vaping au bureau si c’est pas interdit ?).

    Maintenant de toute façon, interdit ou pas c’est une question de logique, si vous êtes a trois dans un bureau et que ça gène personne, que ça soit interdit ou pas tout le monde s’en fout, mais dans un open space d’une centaine de personnes il ne me viendrait même pas a l’idée de sortir mon VP, et c’est bien dans ce dernier cas qu’a été faite cette réglementation.

    Quand je vois que certains considère leur VP comme un moyen de fumer n’importe ou avec n’importe qui dans des endroits ou ils ne fumaient pas avant (type à l’école), j’avoue que j’ai un peu de mal à comprendre ce comportement. Le respect de mon entourage à mon sens passe par le fait de leur demander d’abord si ça le fait que je vape ne les gène pas, et que ça soit interdit changera rien, je continuerais a vaper quand ça dérange personne en groupe limité ou à ne pas vaper dans les opens space / lieu ouverts au public etc.

    • Tony Fiant dit :

      Dans l’autre sens, il y a ceux qui font la guerre pour faire la guerre. À l’heure où le tabac allait bientôt être interdit sur le lieu de travail, je fumais mes tueuses dans mon bureau, bureau privatif. J’avais quand même les syndicalistes qui venaient me chercher des poux alors que l’interdiction n’était pas actée.
      Je fumais de plus la fenêtre ouverte (dans une zone classée Seveso d’ailleurs…).
      Si l’on veut faire ce genre de démarche, qu’ils interdisent par exemple aux gens de laisser tourner leurs moteurs tourner quand ils sont au Mac Drive et autres parce que là, tu en prends plein les poumons et pas besoin d’étude pour savoir si c’est inoffensif ou pas.
      Une fois encore, on se trompe de combat ou plutôt, on diabolise volontairement la vape pour la dénigrer.
      La liberté s’arrête là où commence…etc.
      J’ai toujours détesté cette phrase qui, sous des couverts de respect, d’équité et de logique, est une liberticide totale car, en ce cas, l’ensemble des libertés de tous interdit ce même ensemble et au final tout est interdit.

      • Céline Djibaoui dit :

        Il est pas question de se tromper de combat ou pas, c’est un article qui concerne la cigarette electronique sur le lieu de travail, j’irais parlé de la pollution des diesels le jour ou j’irais surfé sur mon-diesel-au-mac-drive.fr.

        De même, faut arrêter de voir de la diabolisation partout. La restriction sur le lieu de travail est à mon avis bénéfique pour le monde de la vape aussi, ça évitera aux non initiés d’avoir des a priori négatif parce que quelqu’un leur impose a longueur des journées des nuages de fruits rouges au boulot.

        “La liberté s’arrête là où commence…etc.”

        Je n’ai pas cité cette phrase parce que se donner des airs lyriques pour pas un rond c’est pas mon genre, et qu’il est moins question de liberté que de simple civilité. Mais l’interdiction de vaper partout sans se poser de question ne me semble pas si liberticide que tu voudrais le faire croire. Une majorité des vapeurs que je connais s’y sont mis pour la réduction des risques ou faire des économies. Pas pour avoir l’occasion d’imposer sa vape aux non fumeurs partout ou on ne pouvait pas fumer.

        Il y a suffisement de fronts sur lesquels se battre sur la cigarette électronique pour ne pas se tromper de combat. Entre le discours mensonger de 60 millions et le projet de loi qui vise a interdire mod / clearos a haute et moyenne contenance, clearos en pyrex et j’en passe, je crois qu’on a suffisamment d’occasion de gueuler et de rallier les vapeurs, fumeurs et non fumeurs pour s’engager sur des terrains glissants.

        “J’ai toujours détesté cette phrase qui, sous des couverts de respect, d’équité et de logique, est une liberticide totale car, en ce cas, l’ensemble des libertés de tous interdit ce même ensemble et au final tout est interdit.”

        Wtf ?

        • Tony Fiant dit :

          Wtf ? et bien cela veut dire que si tout le monde doit respecter la liberté de tout le monde, il ne peut pas y avoir de liberté car nécessairement, quoique tu fasses, cela ira à l’encontre de la liberté de quelqu’un.
          J’ai cité cette phrase, pas toi, je confirme, car elle ressort tellement souvent en propre et plus encore en filigrane que je voulais mettre en avant sa vacuité réelle.
          Après, calquer ce que l’on doit faire avec la vape sur ce que l’on a fait avec le tabac est une approche limitée dans le temps. Avant, et pas au XIXème, tu avais le droit de fumer PARTOUT hormis quelques exceptions (hopitaux, produits inflammables, etc.) et cela n’était pas perçu comme de l’irrespect. Attention, je ne dis pas que c’était bien mais les gens avaient, fumeurs et non fumeurs, une habitude de fonctionnement.
          Par contre, quand l’image du tabac a commencé à se noircir, on a vu apparaître d’on ne sait où toute une horde de personnes hystériques qui ne supportaient pas le tabac avec un flot d’argumentaires légitimes… ou non. Des refoulés sur plusieurs décennies ? Certainement pour certaines, pas toutes…
          Après, je ne suis pas un provocateur et je ne dis pas qu’il faut vapoter n’importe où. Personnellement, même dans les lieux autorisés, je m’abstiens ou je sors si je veux vapoter donc pas d’extrémisme de ma part.
          Calquer par contre les méthodes d’interdiction sur celles du tabac, sachant que la dangerosité connue est moindre, n’est pas logique et n’est pas juste. C’est tout.
          Vapoter partout, ce n’est effectivement pas la motivation pour passer à la vape mais il n’y a pas de raisons légitimes pour faire un copier/coller du tabac car là, on entretient de facto une forte similarité entre le tabac et la vape ce qui va à l’encontre de l’image que tu voudrais précisément donner.
          L’exemple des drives est pleinement pertinent dans le sujet car c’est un point qui pointe du doigt l’illogisme sur les autorisations/interdictions suivant les lieux et suivant la dangerosité des produits. La vape en fait partie.
          Pour faire clair, interdire la vape dans une école, une administration, etc. oui.
          Interdire la vape sur le quai d’une gare ou dans un parc en plein air, par exemple, non, c’est stupide, vraiment stupide, même pour une tueuse.

          • Titan dit :

            Et juste comme ça , pour le fun … Mais où donc la Marisol a-t-elle l’intention de nous parquer, nous, les vapeurs …? avec les vrais fumeurs de tueuses? Cause que si c’est le cas, on va avoir le droit de l’ouvrir, et très fort, parce que du coup, c’est nous qui allons subir ce tabagisme passif qui, en toile de fond, est le cheval de bataille bien pratique à cette interdiction de vaper sur un quai de gare.

          • Tony Fiant dit :

            C’est ce que je m’évertue à dire. Il faut une réglementation SPECIFIQUE sans chercher à aller voir ce qui se passe du côté du tabac ce qui est pourtant systématiquement le cas en en moment.

            On doit évaluer, pour chaque cas, la nécessité d’autoriser, d’interdire ou de limiter.
            Mais surtout, surtout, il faut que chacune de ces décisions se fassent sur des bases sérieuses.
            Bien sur, je n’y crois pas un seul instant pour reprendre l’exemple aberrant de l’interdiction de la cigarette sur un quai en plein air de gare (comme cela, on peut mieux sentir les odeurs de vieilles huiles usagées et des motrices diesel…)

            Il faut savoir pourquoi on interdit :
            Santé : ok (mais il ne manque pas encore “quelques” éléments d’information ?)

            Civisme, respect d’autrui : ok
            Nuisances visuelles ou olfactives : ok
            Promiscuité (le fameux vapotage passif) : allez, ok

            Image vis à vis des autres : non
            Et, oui, tu as raison, à force de mixer tabac/vape dans les réglementations, nous allons partager les mêmes aquariums ou places de parking dédiées… quitte à choper un lupus, euh non, un cancer du poumon 🙂

            Quant au principe de précaution, cela fait doucement rigoler, il suffit de regarder autour de soi pour s’assurer qu’il s’agit en fait du principe d’hypocrisie.

          • Céline Djibaoui dit :

            “Pour faire clair, interdire la vape dans une école, une administration, etc. oui.
            Interdire la vape sur le quai d’une gare ou dans un parc en plein air, par exemple, non, c’est stupide, vraiment stupide, même pour une tueuse.”

            Bah c’est ce que je soutiens depuis le début, et je vois pas en quoi le lieu de travail diffère d’une école ou d’une administration.

            Quand a l’argumentaire sur la liberté individuelle, je le trouve complêtement déplacé. La vape est loin d’être un droit fondamental.
            L’analogie avec la situation sur le tabac est aussi déplacée. Oui on fumait partout, on avait très peu sinon aucune donnée sur le tabagisme passif et on faisait aussi des lobotomies pour soigner les maladies mentales… ‘Fin j’sais pas y’a un moment faut être de bonne foi, certes tout ca participe a un principe de précaution peut être un peu trop pointilleux, mais même sans ça il me semble qu’on peut concevoir que tout les gens qui bossent n’ont pas forcément envie d’avoir affaire a un mec qui fait des nuages toute la journée et qui t’impose un parfum. Oui y’en a qui t’impose un parfum aussi sans vaper, mais perso je me gène pas pour leur dire qu’elle schlingue si vraiment ça m’ennuie.

            Enfin bref, je sais pas, je comprend pas ta façon de penser qui t’amène a dire qu’on peut interdire la vapote dans les lieux publics confinés type administration école etc mais pas au boulot…

          • Tony Fiant dit :

            La liberté est un droit fondamental. Quand on commence à modifier les curseurs de tel ou tel droit, c’est le début de quelque chose qui est à l’opposé de la démocratie mais ce n’est pas grave puisque nous vivons déjà dedans… Autre débat.
            Boulot ? et bien, si tu es seul dans ton bureau (il y a d’autres cas de figure), en quoi le fait de vaper va gêner ? en rien. Tu vas recevoir quelqu’un ? tu aères avant si tu étais en mode philippin. Ce qui me gêne est la généralisation “violente”. On va bien sur me dire “pourquoi toi tu peux vaper car tu as un bureau tout seul alors que nous, dans l’openspace, on ne peut pas, c’est une injustice de plus”.
            C’est pas faux mais cela veut donc dire qu’on doit interdire partout, sur tous les lieux de travail ? C’est exagéré me semble-t’il ?
            L’équité pour tous quand elle est au plus bas niveau (c’est quasiment un euphémisme) n’est pas non plus une bonne chose… encore un autre débat 🙂

            Nous ne sommes pas très éloignés sur ce qui doit être interdit ou pas mais c’est sur le périmètre d’application où nous divergeons.
            Tiens, tu m’as donné envie de vaper. Allez, je vais dans le salon, j’ai le droit 🙂

          • Céline Djibaoui dit :

            A vrai dire j’suis même pas tant d’accord sur le coup de fumer des vraies clopes dans un bureau seul, l’odeur part pas si facilement, on s’en rend bien compte quand on ne fumes plus, a moins d’être très bien isolé ça peut vite schlinguer dans le couloir, sans parler des peintures qui prennent cher etc bref.

            La vape, c’est un faux problème. Si t’as un bureau seul, même si c’est interdit et que tu vapes il va se passer quoi ? Au bout de quelques secondes ça sentira rien, personne sera au courant que t’aies vapé ou non dans ton bureau. Du coup oui la loi est clairement obsolète dans ce cas là, mais il est évident qu’elle ne sera pas respecté et qu’elle n’a pas été prévu pour ce cas.

            Quant au nivellement par le bas, j’ai toujours trouvé ça dégueulasse dans beaucoup de domaine.
            En revanche si on commence à parler des privilèges des supérieurs hiérarchique qui n’auront plus le droit de fumer dans leur bureau privatif, je t’avoue que j’en ai rien a carré. D’autant plus que ça ne sera pas sûrement pas appliqué dans ce genre de cas, et qu’une telle loi a une vocation bien plus générale que cette situation.
            J’approfondirais pas plus ma pensée parce que je pense qu’on ne sera probablement pas d’accord sur ce que je dirais et qu’on entrerais plus dans le domaine du social/politique que de la vape et que lieu serait mal choisi.

            Mais c’est effectivement notre seule divergence, t’estimes que la loi est mauvaise car pas assez précise, j’estime qu’elle est légitime et qu’elle n’empiétera que virtuellement sur des cas isolés. D’ailleurs j’avais précisé dès mon premier message que dans des cercles restreint au boulot avec un minimum de précaution et de politesse, la vape était pour le moins envisageable.

          • Awendel dit :

            Dans vos dires, un truc me chagrine, c est de dire que la vape créer des nuisances olfactives, si la e-cigarette doit être interdite pour l odeur de la vapeur alors il faudrait interdire tous les parfums, déodorants pour la même gene( et je passe sur les restos, les fleurs, les fruits, enfin tout ce qui peux dégager une odeur )
            Je pense qu’ il faudrait juste des interdictions de bon sens( ciné, école …etc) et non des interdictions sur des suppositions, crainte de la santé sur le long terme,vapotage “passif”
            Combien de produits cosmétiques, pharmaceutiques et de consommations sont mis sur le marché sans connaître les effets à long terme? Plus qu’ on ne pourrai l imaginer
            Vous citez le côté allergène pour certaines personnes, combien de produits restent sur le marché malgré leurs caractères allergènes sans aucune restrictions?

            Je suppose que tous les arguments pour la restriction de la e-cigarette sont la pour justifier un contrôle de ce marché par l état afin de pouvoir ensuite taxer cette dernière a la même hauteur qu’ un produit de l industrie du tabac… Je sais, il ne faut pas diaboliser, mais il faut être réaliste, beaucoup de professionnels de la santé prouvent que la e-cigarette n a que des côtés bénéfiques sur le court terme, que ce n est pas un produit dangereux ( dans les conditions d utilisation normales bien entendu) donc beaucoup de questions se posent sur la réel motivation des anti-vap

          • Céline Djibaoui dit :

            Oui, il y a un bénéfice santé pour les fumeurs qui passent a la vape. Sauf que la on parle d’un endroit déjà interdit au fumeurs, donc je ne vois pas le rapport.

            Pour le reste comme je comprend pas ton propos. L’intercition dans les ciné ecole etc serait de bon sens, mais sur le lieu du travail non ? Quelle est la différence ?

          • Tony Fiant dit :

            Un cinéma, une école, etc. répondent à des schémas environnementaux similaires (type de bâtiments, de salles…) auxquels s’ajoute la promiscuité.
            Les lieux de travail sont beaucoup plus variés dans leurs structures et la promiscuité moins systématique même hors bureau privatif 😉

          • Tony Fiant dit :

            Pour l’odeur, c’est pour faire plaisir et couper l’herbe sous le pied de nos détracteurs. Il y a tellement de nuisances que l’on doit supporter : parfums lourds, celui qui telephone en parlant à haute voix, celui qui ne se lave que les jours d’éclipse solaire, etc. ces nuisances sont autorisées… c’est pour cela que je trouve que l’on en fait un peu trop avec la vape.

          • Tony Fiant dit :

            Hé, hé, début de procès d’intention, pas sympa.
            Le débat serait effectivement hors sujet sur ce site mais peut être plus inattendu que ce qui peut être pressenti 🙂