Fiber n’Cotton revient, dans une V2 destinée à remplacer la première déclinaison qui avait remporté un franc succès. Pourquoi ? Comment ? Qu’est-ce que ça change ? On vous dit tout, ou presque.
Fiber n’Cotton, deuxième !
Une seconde version de Fiber n’Cotton ? Vous demanderez-vous certainement, ajoutant « Mais pour quoi faire, alors que le première fonctionnait déjà très bien ? ». Et bien, la réponse est simple : parce que. La version longue : parce qu’on peut faire toujours mieux.
Ce qui change, dans cette second version, c’est une série de modifications, dans le process et le dosage. Le nouveau Fiber n’Cotton voit son taux en cellulose augmenté, et son procédé de fabrication, qui s’est vu modifier en conséquence, amélioré.
Augustin, pilier de Fiber n’Cotton et bien connu des amateurs de High End à travers Phileas Cloud, souligne « Nous avons choisi de faire évoluer la fibre, parce que nous commençons à avoir de nombreux usagers, qui y sont attachés et l’utilisent, et nous font remonter des remarques et des pistes de réflexion. L’avis de nos utilisateurs et l’évolution du matériel sont les deux facteurs qui ont décidé de cette évolution. »
Concrètement, la Fiber n’Cotton V2, c’est quoi ? La durabilité en a été améliorée, d’une manière minime mais constatable. Globalement, à part avec des liquides très encrassant, on gagne une bonne journée d’utilisation.
Son maniement est également plus simple, la texture, la séparation des fibres, simplifient la vie de l’utilisateur. La fibre est un poil moins crissante et moins rêche sous les doigts, plus facile à modeler.
Enfin, l’absorption est également améliorée, et le test, concluant, a été réalisé avec du Booba’s Bounty, qui ne laisse aucune place à l’approximation.
Made in France
« Tout est fait en France », souligne Augustin, pas peu fier « nous passons par la même entreprise depuis le début, qui s’est impliquée dans le process. Il faut dire que créer un mélange de cellulose et de coton, ce n’est ni une opération facile, ni quelque chose de courant, cela demande des installations qui ne sont pas répandues ». Tout est fait dans la région d’Epinal.
L’empaquetage a été confié à un centre d’aide par le travail pour personnes handicapées « Là encore, une grande fierté pour nous », souligne Augustin. Dernier point, souci du détail oblige, le bois qui sert à fabriquer la cellulose vient de forêts ecogérées.
Alors, pour quel usage ? « Ce sera à chacun de voir » souligne Augustin. « Le coton a tendance à faire ressortir le sucre, il donne de la rondeur à des liquides pas trop complexes. Au contraire, la cellulose pousse en avant les notes hautes, les petites touches d’arômes. Le Fiber n’Cotton est une offre supplémentaire dans l’arsenal des vapoteurs, qui permet d’obtenir les qualités de l’un et de l’autre ».
Il est vrai que les vapoteurs passionnés de liquides ont souvent dans leur trousse à outil différents matériaux, cotons ou fibres, pour optimiser leur montage en fonction du liquide ou de l’atomiseur. Le Fiber n’Cotton s’avère être une offre supplémentaire tout à fait intéressante, et, pour les autres, une fibre qui offre un excellent rendu au quotidien.
Ce Fiber n’Cotton V2 est, de plus, très doué avec les mots : ainsi, il semble impossible de faire rimer pratique, éthique et sympathique, mais lui y arrive très bien. Le Fiber n’Cotton V2 est disponible depuis le 16 septembre, et sera présent au Vapexpo Paris, pour l’essayer en vrai.