Test : Wenax K2 – Geekvape

Si vous ne fumez pas, ne vapotez pas.

Un pod plat et léger

Le Wenax K2 est dans la lignée des pods de la collection Wenax. Les finitions sont d’un excellent niveau. Il est possible de vapoter en déclenchement automatique ou avec un appui sur le bouton de déclenchement. Fourni avec 2 cartouches différentes, il permet de varier les ressentis.

Caractéristiques techniques

Dimensions du pod	115 x 11 x 22 mm
Poids du pod	37 g
Charge	USB-C
batterie	1000 mAh
Plages d'utilisation	automatique
Capacité du réservoir	2 ml

Le coffret comprend :

• Pod
• Réservoirs
• Cordon USB
• Mode d'emploi

Toujours simple, toujours efficace

Sur la face principale du Wenax K2, on trouve un bouton de déclenchement large et imposant. Il permet la production de vapeur par simple appui. Il est transparent, mais ne s’illumine pas lors du déclenchement. Les 3 LED situées juste en dessous indiquent le niveau de batterie restant et le bon fonctionnement du Wenax K2.

Il est aussi possible de produire de la vapeur par simple inhalation, sans utilisation du bouton. C’est encore plus simple. Nous n’avons pas constaté de latence perceptible entre le début de l’inhalation et la production de vapeur avec ce mode.

Sur une tranche du Wenax K2, une connectique USB-C permet la charge rapide du pod et de sa batterie intégrée de 1000 mAh. C’est une autonomie dans la moyenne des produits actuels de ce format. Les cartouches fournies ne sont pas énergivores, il n’est donc pas nécessaire de recharger son pod plusieurs fois par jour. Il est possible de vapoter pendant la phase de recharge.

Sur la tranche opposée, une glissière permet d’ajuster la quantité d’air qui refroidit la résistance de la cartouche. Elle impacte également la sensation perçue et le volume de vapeur à inhaler. Totalement ouvert, cet espace laisse le maximum d’air entrer. On obtient une vape en inhalation indirecte (bouche puis poumons comme une cigarette de tabac) très dynamique et volumineuse. On peut aussi vapoter en inhalation directe (directement dans les poumons) très restreinte dans cette configuration. Fortement réduit et ne laissant passer qu’un fin filet d’air, le tirage est serré.

La cartouche, d’une contenance de 2 ml, se remplit en soulevant l’opercule en silicone placé sur le côté. Il faut privilégier les embouts de flacon fins pour plus de confort et ainsi éviter tout engorgement.

La cartouche se place au sommet du corps du Wenax K2. Elle est maintenue par un système d’encoches rigides. La tenue est excellente, rien ne bouge. Notre exemplaire a subi une chute d’une hauteur d’environ 90 cm, la cartouche ne s’est pas séparée de la batterie.
La transparence du réservoir permet de situer le niveau d’e-liquide restant à tout moment sans retrait de ce dernier.

Deux cartouches sont fournies dans la boîte du Wenax K2. Une avec une résistance d’une valeur de 0,8 ohm pour une utilisation entre 12 à 16 W et l’autre avec une résistance à 1,2 ohm pour une plage de puissance de 10 à 12 W.

Geekvape favorise, avec ces modèles, l’inhalation indirecte même s’il est possible de vapoter en inhalation directe très restreinte avec la résistance à 0,8 ohm. Comme toujours, sur la série Wenax, les saveurs sont au rendez-vous. C’est net, détaillé et juste. La production de vapeur est cohérente avec les valeurs ohmiques des résistances.

On regrette cependant l’aspect jetable des cartouches qu’il faut intégralement changer quand la résistance et le coton sont usagés.

En résumé

Conclusion

Le Wenax K2 en images