Denis Maragno, doctorant italien à l’Université de Venise, a imaginé et développé un réseau social totalement consacré à la vape, intitulé Meetvapers.com
“Dans chaque nouvelle ville que je découvre, je rencontre des gens qui vapotent. Systématiquement nous débattons sur la cigarette électronique” raconte-il sur le site Sigmagazine.
“Les personnes que l’on rencontre peuvent devenir des amis et nous sommes susceptibles de discuter de la vape et bien d’autres sujets. La cigarette électronique est plus qu’une alternative à la cigarette conventionnelle, c’est un facteur culturel qui présente un potentiel énorme” selon cet universitaire transalpin.
Il lui a fallu un an pour concrétiser ce projet. C’est selon lui une plateforme ou l’on peut “débattre, partager ses connaissances mais également aider les autres en délivrant quelques conseils”. Denis Maragno ne prétend pas concurrencer les grands réseaux sociaux, seulement attirer tous les utilisateurs de cigarettes électroniques.
En se rendant sur la page facebook consacrée à MeetVapers, on peut voir que Maragno encourage les vapoteurs à promouvoir leurs événements sur cette plateforme. Le réseau social peut contribuer selon lui à organiser les manifestations dédiées à la vape.
Lire tous nos articles consacrés à la situation de la vape en Italie.
Chuis complètement d’accord avec ça.
La Vape n’est ni raciste, ni de droite, ni de gauche, elle a aussi dans le même temps, et contre toute attente, fait se rencontrer des gens qui n’avaient rien en commun, de parfaits inconnus de tous bords, de toutes origines et de tous milieux. Elle a étonnamment déclenché des vocations, suscité des passions, engendré des volontés de construire, d’inventer, d’améliorer, de partager, de transmettre, d’apprendre … Des “Vapéros” sont nés de cette Vape si controversée, des manifestations ont vu le jour, des amitiés sont apparues, des partenariats, des emplois on été créés et ont engendré (n’en déplaise aux négatifs compulsifs réacs jaloux) des synergies commerciales, sociales et culturelles. La Vape a “positivé”, a ouvert une issue possible et réaliste à ce fléau mondial qu’est le tabac. A l’inverse de nos empoisonneurs d’Etat qui eux l’ont méprisée au dernier degré, considérant cette invention révolutionnaire “née au fond d’un garage” comme une mode bassement populaire promise à une mort certaine et rapide.
Manque de bol, cette “mode” a perduré et a fait des émules. Même quelques élus (qui se souviennent pourquoi ils existent) y voient une solution au tabac (au grand dam de tous les autres “antis-Vape” ou sans opinion). Rien d’étonnant à ce qu’un “réseau social Vape” s’organise et plante les jalons d’une libération inespérée contre cette “clope meurtrière” qui attente à notre vie 214 fois par jour.
Et franchement, qui aurait cru à la Vape il y a 5 ans?