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On ne vapotera plus dans les lieux publics de New York

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Les vapoteurs New Yorkais ont perdu quelque peu de leur liberté cette semaine. En effet, la municipalité de la métropole américaine a interdit l’utilisation de la cigarette électronique dans les lieux publics.

Le fantasme de la banalisation du tabagisme

A New-York, il n'est déjà plus possible de vapoter dans les lieux publics ...

A New-York, il n’est déjà plus possible de vapoter dans les lieux publics …

Le conseil municipal a décidé par une très large majorité (43 voix pour l’interdiction sur 51) d’intégrer l’e-cigarette dans le Smoke-Free Air Act. A sa tête Christine Quinn qui a justifié le choix des conseillers par le risque que la cigarette électronique ne rende “de nouveau normal le fait de fumer dans les lieux publics.” Le vapotage ne serait pas seulement prohibé dans ces espaces, il le serait aussi dans les immeubles de bureaux ainsi que les restaurants.

Nous constatons ainsi qu’il n’y a pas que les institutions européennes qui tentent de règlementer drastiquement la vente et l’utilisation du vaporisateur personnel.
Il y a quelques semaines, la ville de New-York est devenue la première ville des Etats-Unis à relever l’âge légal pour acheter du tabac et des e-cigarettes à 21 ans. C’est dommage qu’une fois de plus un symbole comme la Big Apple prenne de telles mesures restrictives pour un produit qui a déjà aidé de très nombreux fumeurs à baisser ou arrêter leur consommation de tabac. En France, le vapotage n’est déjà plus permis dans les transports en communs de la RATP et au sein du réseau des transports publics de la communauté d’agglomération Sophia Antipolis.

Gérard Mathern, président de l’institut Rhône-Alpes de Tabacologie, expliquait très récemment que l’interdiction de la cigarette électronique dans les restaurants permettait seulement de sauvegarder le confort des “non vapoteurs” qui pourraient être dérangés par différents arômes et parfums lors de leur repas, mais que le vapotage passif ne soulevait pas d’inquiétude médicale pour l’entourage.