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Le ministère de la santé français tend les mains aux associations pro-vape

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Dans l’esprit de la dynamique collective initiée à l’occasion du moi(s) sans tabac, “en novembre, on arrête ensemble”, le ministère de la Santé propose aux associations de travailler en collaboration pour éclaircir la portée des interdictions de propagande et de publicité pour les produits du vapotage.

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Le Pr Benoit Vallet, au Sommet de la vape en mai 2016

La direction générale de la santé est pleinement investie dans la réduction des risques (RDR) en matière d’addictions. Ce concept, né en faveur des usagers de drogues, doit nous permettre de repenser notre action et notre communication à l’égard de la lutte contre le tabac. »

C’est le sens du message de Benoit Vallet, Directeur général de la santé, adressé aux associations qui avaient déposé un recours au conseil d’état dans l’espoir de faire annuler les interdictions de propagande en faveur des produits du vapotage.

Dans un communiqué de presse, les associations expliquent qu’avec les garanties écrites, l’engagement sur une feuille de route rapide qu’elles ont reçues, elles ont décidé de retirer leurs recours devant le Conseil d’Étatpour ouvrir une nouvelle ère basée sur la confiance au lieu de la défiance“.

Elles vont participer à l’actualisation de la circulaire de 2014 prévue pour janvier 2017. Celle-ci “devrait à la fois participer à modifier l’image des produits du vapotage en envoyant un signal fort, et assouplir l’interprétation répandue du régime juridique actuel” selon le Pr Benoît Vallet. Les représentants des associations viendront avec des exemples concrets des difficultés rencontrées : manifestations publiques, communication sur les réseaux sociaux, conseils des praticiens vers les patients…

Une consultation devrait être lancée dans les jours à venir “pour recueillir les avis des usagers (vapoteurs), professionnels de santé et toutes personnes qui s’estiment légitimes sur les questions de la propagande et de la publicité pour le vapotage“.