Vous êtes ici : Vaping Post » Société » Etudiants : la réduction des risques n’est pas une priorité

Etudiants : la réduction des risques n’est pas une priorité

    Annonce
  • Calumette
  • le petit vapoteur
  • Pulp
  • Vaporesso
  • Innokin
  • Vincent
  • Voopoo

Selon une étude consacrée aux comportements à risque des étudiants commandée par la SMEREP, un étudiant sur quatre consommerait du cannabis. Une enquête précédente révélait le recul de leur intérêt pour la cigarette électronique, outil de réduction des risques.

En 2014, l’image du vaporisateur s’est dégradée auprès des étudiants

40% des étudiants fumeurs qui avaient testé l’e-cigarette sont revenus au tabac en 2014

La mutuelle SMEREP vient de rendre public quelques résultats d’une étude portant sur les comportements à risque des étudiants et en particulier sur leur consommation de cannabis. Selon les chiffres publiés, un étudiant sur quatre serait consommateur régulier ou occasionnel de cannabis. La publication de ces informations a donné l’occasion à certains médias comme Le Figaro et Santé Magasine de rappeler les résultats d’une précédente enquête menée par la mutuelle étudiante auprès de ses adhérents sur le tabagisme et l’utilisation de la cigarette électronique, alternative de réduction des risques.

Publiée en 2014, l’étude révélait une dégradation de l’image du vaporisateur auprès des étudiants en seulement un an. Ils étaient 16% à trouver la cigarette électronique “mieux que le tabac” en 2014, contre 27% en 2013. De plus, près de 7 étudiants sur 10 (67%) la qualifiaient de “fun” il y a deux ans, alors qu’ils n’étaient plus que 33% à porter ce même jugement en 2014. Les auteurs de cette enquête en s’intéressant à l’adhésion des jeunes à ce produit avaient pu évaluer que 40% des étudiants fumeurs qui avaient testé ce produit étaient revenus au tabac, 16% par contre étaient devenus des vapoteurs réguliers.

D’autres données avaient été collectées en milieu scolaire en 2014, cette fois-ci à l’initiative de la Fondation du Souffle contre les maladies respiratoires. Les enquêteurs s’étaient alors concentrés sur un public plus large, composé de collégiens, de lycéens et d’étudiants. Nous avions notamment appris qu’un jeune sur cinq avait commencé à vapoter dans le but de diminuer sa consommation de tabac ou s’éloigner définitivement de la cigarette.

Une réponse à “Etudiants : la réduction des risques n’est pas une priorité”

  1. Humanz_CT dit :

    C’est pas vraiment nouveau que les jeunes choisissent quelque chose plus pour son côté attrayant que pour son côté utile…