Nous avons rencontré Rachel Pallamidessi, responsable marketing et communication chez Delfica depuis 2022. Elle raconte son parcours et les problématiques de son métier.
Bonjour, tout d’abord, pouvez-vous vous présenter ? Qui êtes-vous dans la vie ?
Bonjour ! Je m’appelle Rachel Pallamidessi, j’ai 30 ans et je vis entre Strasbourg et la Guadeloupe. J’ai la chance de pouvoir combiner mon travail et mon rêve de vivre sur une île ensoleillée toute l’année. Mes années post-Covid ont été riches en projets, que ce soit dans l’immobilier ou au niveau professionnel, avec l’ouverture d’une école de danse en Guadeloupe, mon activité de free-lance et mon poste chez Delfica.
Quand êtes-vous devenue vapoteuse ?
Pendant le Covid, je fumais peu (2-3 cigarettes par jour) et j’en ai profité pour arrêter définitivement. J’étais également motivée par mon conjoint qui, n’ayant jamais fumé, n’aimait pas l’odeur de la cigarette. Connaissant Walter Rei, le fondateur de Delfica, depuis plusieurs années, j’ai été conseillée par lui et j’ai commencé avec un Rush Gold en 3 mg/ml.
Comment êtes-vous devenue une professionnelle de la vape ? Quels sont votre formation et votre parcours professionnel avant ce poste ?
J’ai rejoint Delfica en juillet 2022 au poste de responsable marketing et communication, d’abord en free-lance pendant quelques mois, puis en CDI à mi-temps. Avant cela, et directement après mes études de marketing, j’ai travaillé durant quatre ans dans une société informatique. J’ai quitté l’informatique pour monter mon auto-entreprise, c’est à ce moment-là que Walter m’a contactée. J’ai également une licence de cinéma (fun fact : c’est à la fac que j’ai rencontré la fille de Walter).
Quel est votre rôle en tant que responsable marketing et communication ?
Ma mission est d’imaginer, de créer et de mettre en œuvre la stratégie marketing et la communication de Delfica. C’est un métier polyvalent et très intéressant, notamment lors de la création de nouvelles gammes. Cela inclut la recherche de nouveaux produits selon les tendances du moment, la création d’une identité visuelle forte, le branding, le storytelling, la mise en place d’un plan de communication multicanal et le suivi des budgets. Au quotidien, je gère la communication “classique” telle que les mailings, les réseaux sociaux, les pop-up… Toutes les actions Web et print nécessaires à l’évolution de la marque. Je travaille en étroite collaboration avec notre graphiste Mélinda Schott. J’aime également mettre la main à la pâte dans la création de visuels, sous l’œil bienveillant de Mélinda.
Quels sont vos objectifs ?
Nous avons beaucoup de nouveaux projets prévus pour la rentrée de septembre 2024. Notre plan de communication est bien avancé pour les huit prochains mois. Mes objectifs sont toujours les mêmes : réussir à m’organiser suffisamment en avance pour ne pas travailler dans l’urgence et continuer à développer le plus de projets possible. Un autre objectif est de continuer à faire connaître la BoostEco à tous les shops de France !
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans le fait de travailler dans la vape ?
Je ne connaissais pas du tout le monde de la vape avant d’y travailler. J’y ai découvert un univers bienveillant et humain, avec beaucoup d’humour. J’apprécie le fait qu’il n’y ait pas de prétention et que (presque) tout le monde joue fair-play. C’est aussi un domaine avec un gros besoin de créativité, mais extrêmement concurrentiel, ce qui demande de faire fonctionner les méninges !
Comment voyez-vous votre avenir professionnel dans les prochaines années ?
Ce que j’aime chez Delfica, c’est que Walter a toujours de nouvelles idées en tête. C’est très satisfaisant de voir naître une idée et de lui donner forme, matière et consistance. De plus, nous ne faisons pas uniquement des e-liquides, et j’avoue apprécier énormément travailler sur la BoostEco, car cela correspond à mes valeurs et ce fut mon tout premier projet ! J’ai dû m’adapter aux règles rigoureuses liées aux produits de vapotage en termes de communication. Les dernières restrictions concernant les influenceurs et la communication envers les particuliers ajoutent encore une barrière. J’espère que l’étau va se desserrer bientôt. Alors, tant qu’il y aura de beaux projets, je serai présente !
À la rencontre d’autres acteurs de la vape