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Les professionnels de la santé doivent connaître les faits concernant le vapotage

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Communiqué de presse

Le Vaping Post n’a pas participé à la rédaction de cet article.

Dans l’UE, 700 000 personnes meurent chaque année des suites du tabagisme et un
fumeur sur deux meurt 14 ans plus tôt que prévu[1]. Le passage au vapotage a permis à
des millions de fumeurs dans le monde de réduire considérablement les risques pour
leur santé. Le principe de la réduction des risques fonctionne et des millions de fumeurs
supplémentaires pourraient en bénéficier. Mais pour qu’il change réellement la société,
les fumeurs ont besoin de connaître les faits, et cela commence par les professionnels
de la santé.

Bruxelles, 16th Mars 2023 – Trois experts du King’s College de Londres et de l’organisation
caritative de santé publique Action on Smoking and Health (ASH) se sont récemment
adressés aux professionnels de la santé, en mettant l’accent sur les “mythes concernant
les e-cigarettes et le vapotage” [2].

“Les e-cigarettes (vapes) sont actuellement l’aide la plus populaire utilisée pour arrêter de fumer en Angleterre et sont utilisées par environ 4,3 millions d’adultes en Grande-Bretagne, dont la majorité sont d’anciens fumeurs”, affirment les auteurs, soulignant que
… le vapotage ne pose qu’une petite fraction des risques sanitaires du tabagisme et que
les fumeurs devraient être encouragés à utiliser les produits de vapotage… pour arrêter de fumer”.

Les experts craignent que les mythes sur le vapotage “risquent de compromettre
l’utilisation de ces produits en tant qu’aides au sevrage”.

Le président de l’IEVA, Dustin Dahlmann, partage cet avis :

“Les faits concernant la réduction des risques sont avérés. Si beaucoup plus de fumeurs qui ne peuvent pas arrêter par d’autres moyens passaient à la cigarette électronique, des millions de personnes dans le monde pourraient vivre mieux et plus longtemps. La politique de santé du Royaume-Uni devrait être un exemple à suivre pour tous les décideurs politiques”.

Le gouvernement britannique estime que le vapotage est au moins 95 % moins nocif que le tabagisme. Le risque de développer un cancer est considéré comme étant 99,5 % plus faible pour les vapoteurs que pour les fumeurs. Ces conclusions ont été confirmées dans de nombreuses publications au cours des dernières années. [3]

Mais trop de fumeurs se trompent sur la nocivité du vapotage. Seuls 28 % des fumeurs en Europe savent que le vapotage est moins nocif que le tabagisme. [4]

“Il est essentiel que les fumeurs soient informés sur la réduction des risques. Les
professionnels de la santé ont une responsabilité en tant que cliniciens en contact direct
avec les personnes qui veulent arrêter de fumer”, déclare Dustin Dahlmann


Sources :

[1] Vue d’ensemble de la santé publique, Commission européenne
[2] “There are many myths about e-cigarettes and vaping”, Nursing Times 22/02/2023.
[3] Evidence review of e-cigarettes and heated tobacco products 2018, Public Health
England. 
[4] European adult smokers’ perceptions of the harmfulness of e-cigarettes relative to
combustible cigarettes, European Journal of Public Health 2020. 

À propos d’IEVA

L’Independent European Vape Alliance (IEVA) est la seule association paneuropéenne
visant à rassembler les associations nationales, les entreprises, les fabricants et les
grossistes de l’industrie du vapotage et à leur fournir une représentation responsable au
niveau européen. Le principe fondateur de l’IEVA est de contribuer à la réduction des
risques et à la santé publique. Les cigarettes électroniques ont un impact positif
significatif et devraient être reconnues comme un outil de réduction des risques, car le
vapotage n’est pas du tabagisme.