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L’augmentation du nombre de jeunes qui vapotent et les soucis de santé de deux d’entre eux inquiètent le ministère de la Santé.
Restreindre ou complètement interdire
Le soleil se couche sur Jérusalem.
Bien qu’Israël est déjà le pays du monde dans lequel la vapoteuse est la plus lourdement taxée, les choses pourraient encore empirer pour les consommateurs sur place. La semaine dernière, Aryé Dery, ministre de la Santé du pays, a indiqué être en train de réfléchir à de nouvelles mesures destinées à ralentir l’utilisation de la cigarette électronique chez les jeunes.
Signalant que son utilisation aurait augmenté d’environ 300 % l’année dernière, chez les adolescents âgés de 12 à 14 ans, l’homme a indiqué être en train de songer à plusieurs mesures potentielles. Soit, une interdiction pure et simple de tous les produits de la vape, soit une interdiction des arômes autres que celui du tabac dans les e-liquides, ou alors la mise en place d’une obligation de parer tous les emballages d’une « image dissuasive ».
« Les options sont examinées en raison de deux cas difficiles et du phénomène répandu », ont déclaré à ce sujet deux hauts responsables du ministère, selon i24news.
Les cas difficiles en question concernent un jeune de 16 ans, récemment décédé à l’hôpital, « après avoir fumé une cigarette électronique », et un autre adolescent hospitalisé ces derniers jours dans un état grave, souffrant d’insuffisance respiratoire.
Des cas qui font penser à la maladie pulmonaire survenue aux USA il y a quelques années, qui avait conduit le pays à prendre des mesures drastiques contre la cigarette électronique, alors que le coupable s’avérait finalement être un produit à base de THC, qui était ajouté aux e-liquides. Aucune information à ce sujet n’a pour l’instant été communiquée.
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