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Test : Genny 2 – Bear Lair Mods

  • Par , le 11/12/2018 à 14h00
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Bear Lair Mods, c’est une bande de vapoteurs russes, dont le leader est un ours brun de 700 kg qui forge les mods à coups de pattes et de griffes. L’équipe a installé son atelier dans sa tanière pour concevoir, d’abord un atomiseur genesis pour Billet Box, le Grizzly, ce qui montrait un goût certain pour la vape à l’ancienne. Elle confirme cette orientation avec le Genny 2, un atomiseur reconstructible top coil, lui aussi prévu pour des montages genesis, mais pas seulement. C’est l’occasion de (re)découvrir ce type de montage qui, en dehors du fait qu’il faut une heure en venir à bout, produit des résultats durables et intéressants. En route pour la vape d’avant 2012 !

Avec quoi ça vape, un ours ?

Avec le Genny 2, nous avons affaire à un véritable mécano, d’autant plus que les modeurs ont eu la gentillesse de nous envoyer aussi un réservoir et un top cap alternatifs en Ultem. C’est un petit atomiseur de 22 mm sur 42, qui semble clairement inspiré par le travail de Norbert, grand pape de la vape en genesis à son époque.

Il est bien construit, les ajustements sont impeccables et les possibilités de montage sont nombreuses, invitant à des heures d’expérimentations. D’ailleurs, la revue va être assez longue. C’est un atomiseur technique, si vous détestez ça, fuyez !

Le Genny V2 est un atomiseur top coil, qui peut être utilisé comme tel avec son réservoir de 4 ml.

Mais, il peut aussi se transformer en squonker. Il est livré avec un connecteur 510 plus court et un pin BF, accompagné d’un réservoir en Ultem plus petit. Pourquoi plus petit ? Probablement parce qu’en usage BF, il y a besoin de moins de réserve et l’atomiseur est ainsi plus discret ?

Sous la base, la décoration affirme la nature artisanale de ce mod : pas de gravure laser, de la vraie gravure faite par un ours avec ses griffes !

On accède au plateau en tirant sur le top cap et on découvre que les deux posts ne sont pas à la même hauteur, donc qu’ils sont faits pour accueillir un ou deux coils verticaux.

Le réglage de l’air flow est confié à une bague insérée à l’intérieur du top cap. Les 3 plots en acier bouchent trois trous sur lesquels nous reviendrons.

Deux arrivées d’air sont percées sur le top cap, chacune alimentant un des deux coils. Leur diamètre est de 2,2 mm. Ils définissent le tirage maximum, direct assez restreint. Deux bagues de réglage sont fournies. Elles donnent le choix entre deux échelles : la première pour une vape serrée, avec des trous de 1,2 mm à 1,6 mm, la deuxième pour une vape (un peu) plus ouverte avec des trous de 1,8 à 2,2 mm.

Avec les plus petites arrivées, on a une vraie vape MTL et des saveurs excellentes, avec un seul trou et un seul coil, et une vape MTL plus ouverte avec deux trous. Il est par ailleurs possible de choisir des réglages intermédiaires en décalant un peu la bague, mais ça ne me semble pas très utile : les options de base sont bien choisies.

Ces bagues doivent être glissées dans le top cap, elles ne sont donc pas facile à manipuler. Le modeur fournit un petit outil qui facilite son insertion et son réglage sous la forme d’un plaque de métal qui se glisse dans deux encoches. Le petit ergot à l’autre bout permet d’accrocher la bague par un de ses trous pour la sortir. Il y a moyen de s’en sortir sans cette pièce, avec un manche de petite cuillère par exemple, si on est au café avec une envie soudaine de changer de tirage, mais c’est mieux avec.

Oui, on est dans l’artisanal, c’est une conception à l’ancienne, qui a son charme, mais n’est pas très pratique. Ceci étant, sur ce genre d’atomiseur, on ne change pas son air flow à tout bout de champ, on peut donc accepter cet archaïsme.

Sur le plateau, il y a 3 trous. Celui qui est dans l’alignement des posts est destiné au remplissage, en mode top coil sans BF. Les deux autres sont faits pour accueillir les mèches. Il est possible d’utiliser l’atomiseur avec un ou deux coils, donc des petits bouchons en acier sont fournis, pour boucher le trou de remplissage et un des deux trous pour les mèches. Il est possible d’ajouter des petits joints (fournis) en silicone dans les rigoles des bouchons, pour faciliter leur préhension.

En simple coil, un réducteur de chambre peut/doit être utilisé. Remarquez la rigole qui fait le tour du réducteur. Elle permet d’utiliser le Genny en simple coil, tout en gardant les deux arrivées d’air ouvertes. L’une alimente le coil directement, l’autre part les côtés, et ça marche étonnamment bien pour une vape plus aérée.

L’atomiseur est bien sûr entièrement démontable, assez simplement. À gauche, le connecteur 510 se visse sous le plateau avec un pas de vis large. Ensuite, il suffit de placer le Pyrex et de visser la base sur le pas de vis fin du connecteur. Le pin vient ensuite se visser à l’intérieur du connecteur pour relier le plot positif.

Avec le kit en Ultem (optionnel), les possibilités de configuration deviennent encore plus nombreuses : réservoirs en Ultem de 2 ou 4 ml, réservoir en pyrex de 4 ml, top cap en acier ou en Ultem, drip tip en Delrin ou en Ultem, et tous les mixages possibles.

Personnellement, c’est dans cette configuration que je le préfère, en mode BF, donc avec le petit réservoir en Ultem.

En version tout Ultem, il est aussi intéressant parce qu’il ne chauffe pas du tout (il ne chauffe déjà par énormément à la base). Mais trêve de présentations, il est temps de passer aux montages pour enfin vaper !

Montage genesis

Commençons par là puisque c’est sa vocation première et que les modeurs adeptes de l’ours nous invitent à découvrir ou redécouvrir les joies de ce mode de vape.

Pour ceux qui n’ont pas entendu parler de montage genesis, il nous faut resituer cette technique : c’est une époque où personne n’a encore pensé à utiliser du coton pour faire des mèches, on utilise du cordon de silice, qui a l’avantage de ne pas pouvoir brûler. Mais sa capillarité est très moyenne, ce qui condamne à une petite vape, sans pourvoir enchaîner les barres. Les vapoteurs sont peu nombreux à cette époque et ce sont presque tous des geeks : il faut l’être pour supporter les fuites permanentes des atomiseurs et les montages ratés une fois sur deux. Sur les forums, il y a énormément de discussions techniques, les geeks imaginent d’autres montages, certains deviennent modeurs. Dans cette grande agitation, un jour, quelqu’un a eu l’idée de faire une paille en roulant un bout de mesh (une sorte de toile d’acier, que l’on retrouve aujourd’hui dans pas mal de résistances de clearomiseur) et d’enrouler un fil de Kanthal autour, comme on le faisait avec la fibre de silice.

On glisse la paille dans le réservoir en la laissant dépasser. La capillarité fait remonter le liquide, et si on enroule un coil autour, ça fera de la vapeur ! Le problème, c’est que si on enroule un coil autour d’une paille en acier, on va avoir un superbe court circuit.

Il faut donc d’abord se débrouiller pour que la paille ne soit plus conductrice en oxydant le bout de mesh avant de l’enrouler. Pour l’oxyder, on l’expose assez longuement à une flamme vive (bleue) : gazinière, chalumeau, briquet, peut importe, quand le mesh devient bleu/noir/marron, c’est théoriquement bon. Certains vont jusqu’à enduire le mesh de VG, avant de tout cramer, ça améliore à la fois l’isolation et la capillarité. On peut alors installer la paille et la couper à la bonne dimension, 3 cm ici.

On attache ensuite le fil au pôle négatif, celui du bas, pour l’entortiller autour de la paille (qui est très mal foutue sur cette photo, elle doit être bien régulière, je l’ai arrangée ensuite). Ce genre de montage ne s’utilise pas à 30 W, il faut donc prendre un fil assez résistif qui nous donnera un coil de plus de 1 ohm en 4 ou 5 tours. J’ai pris un fil de Kanthal de 0,25 mm ici. Il vaut mieux ne pas utiliser de plus gros fils, pour deux raisons : d’abord on ne va pas faire 10 tours, et pour une vape à 10 ou 15 W maximum, il vaut mieux garder une résistance élevée, 1 ohm ou plus, donc il faut du fil fin, résistif. Ensuite, plus le fil est gros, plus il est dur à plier, on va déformer la paille, on va avoir des spires irrégulières, et le montage sera raté.

Il faut faire un coil à spire espacée pour que ça fonctionne bien, mais enrouler un fil sur une paille plus ou moins souple avec les posts qui gênent pour en faire le tour, c’est pas évident. Ça fait une bobine assez irrégulière, c’est mal, mais il est difficile de faire mieux à ce stade. 

Il faut du coup essayer de redresser ce coil, c’est un peu mieux ici, mais attention ! On voit sur cette photo que la deuxième spire ne touche pas la paille sur la gauche, et c’est pas bon du tout : ça va faire un point chaud, la vape sera mauvaise. Il faut que le coil soit bien serré sur la paille.

Voilà, après quelques tortures et un rodage du coil, on est bon. Mais attention ! (oui, c’est assez pénible un montage genesis, faut faire attention à plein de choses, c’est pas pour rien qu’on est tous passé au coton !).

Il faut rôder le coil pour qu’il chauffe uniformément, alors qu’au départ certaines parties chauffent au rouge pendant que d’autres restent de marbre. Il faut faire ça progressivement, par petites pulsations, et impérativement sur un mod électronique.

En effet à ce stade, il reste une possibilité assez grande que nous ayons raté partiellement l’oxydation du mesh au début… et que nous nous retrouvions avec un joli court-circuit, qui aurait une très mauvaise influence sur l’accu d’un mod mécanique. Si c’est le cas, il faut tout recommencer et re-oxyder le mesh !

Bref, après une nouvelle séance de torture du coil, de vérifications et de patience, nous avons un coil qui chauffe uniformément, sans court circuit (à valider en vérifiant la valeur de la résistance que donne la box). Comptez 1 à 2 heures pour un premier essai de ce type de montage, 1/2 h quand on a l’habitude et qu’on ne se rate pas. Le genesis, ça se mérite !

L’atomiseur remonté (avec le réducteur), que donne la vape avec ce montage ?
D’abord c’est une petite vape : MTL ou DL, très agréable, mais petite, autour de 15 W. Il faut donc utiliser un flux d’air en conséquence. 

Les saveurs sont bonnes, précises, et… différente. Ce qui est caractéristique, et qui fait que certains vapoteurs restent attachés à ces montages compliqués, c’est que la vape est… comment décrire ça… plus… sèche ? Pas sèche au mauvais sens du terme, comme quand une mèche n’a pas assez de liquide. Plutôt au sens ou un liquide tabac peut être sec. D’ailleurs, ceux vapent en mesh aujourd’hui sont souvent aussi des amateurs de saveurs tabacs, gourmandes ou non. Ça marche aussi très bien avec des liquides fruités et frais. Avec des gourmands, c’est moins évident parce qu’on s’attend à plus d’onctuosité, mais c’est une question de goût et d’habitudes. Il est aussi possible de faire un montage genesis en double coil, pour vaper à 25 W, avec une vapeur plus volumineuse, mais toujours aérée.

Bref, ça marche très bien, et même si on peut utiliser des montages coton, il est clair que cet atomiseur est construit pour les montages genesis et pour inviter les vapers actuels, élevés au coton bio, à s’intéresser à ce mode de vape. Ce n’est pas mieux, ni moins bien, c’est différent.

Montage coton

J’ai fait plusieurs montages, en micro coil ou en spires espacées, avec des fils d’acier ou de Kanthal, mais toujours fins pour être cohérent avec la gamme de vape du Genny : résistance finale entre 0,7 et 1,4 ohm. Il est bien sûr possible d’utiliser des fils complexes,  mais pas trop “diesels”. À faible puissance, les coils trop long à chauffer sont désagréables.

Même en montage coton, le coil doit être placé en position verticale, puisque de toute façon il n’y a qu’un trou vers le réservoir pour la mèche. Pour le placer sans le déformer, il suffit de planter le gabarit dans le trou vers le réservoir, le placement et le serrage du coil est alors très simple.

En double coil, c’est pareil. Il suffit de penser à bobiner le deuxième à l’envers, sinon les pattes ne sont pas du bon côté.

La pose du coton assez simple si on dispose d’une pincette pointue pour pousser la mèche dans le réservoir. En simple coil, il faut ensuite couper la mèche au-dessus du coil, en laissant une petite boule de coton, histoire d’avoir une petite réserve de liquide au dessus du coil.

En double coil, il est possible de monter deux mèches indépendantes, comme en simple, mais il est plus intéressant de relier les deux sommets, en n’utilisant qu’une mèche. La pose est un peu plus délicate, il faut calculer la longueur nécessaire avant d’insérer les bouts dans le réservoir.

Ce montage présente l’avantage de créer une plus grande réserve de liquide entre les deux coils, qui fait tampon quand on enchaîne les barres.

La vape est plus conforme à ce que l’on connaît aujourd’hui, le coton apportant un peu plus de douceur. Les saveurs sont aussi très bien restituées, et la vapeur est un peu plus dense qu’avec le montage genesis en simple coil.

En double coil, on peut monter la puissance autour de 25/30 W et les saveurs restent bonnes, on a plus l’impression d’avoir 2 simples coils qu’un double. La vapeur n’est pas plus dense (la chambre est plus grande sans le réducteur), mais il y en a plus. C’est une vapeur aérée.

Dans tous les cas, que ce soit en genesis ou en coton, en simple ou en double coil, les saveurs sont très agréables. Nous sommes clairement devant un atomiseur à classer dans le haut du panier de la vape, MTL ou DL modérée.

Revue technique

La boite est artisanale, mais elle contient beaucoup de pièces (que nous avons vu sur les photos) pour permettre tous les montages possibles de l’atomiseur : pin et connecteur BF ou non, réservoirs, bouchons, bagues d’air flow, joints de rechange etc. À droite, la petite boite en plastique contient les éléments de l’option Ultem : réservoir, top cap et accessoire.

Les caractéristiques essentielles du Genny v2 de Bear Lair Mods

Type de matériel atomiseur
Diamètre 22 mm
Hauteur 42 mm
Contenance 4,2 ml
Poids 54 g
Remplissage par le haut ou BF
Type de montage simple / double coil
Arrivée d’air latérale
Matériaux SS 316, PEEK, PEI, borosilicate

Petites observations capillaires

Les montages coton sont en général plus simples et marchent mieux pour envoyer un peu de puissance, c’est indiscutable. Et ils offrent une vape plus onctueuse. Mais sur cet atomiseur, j’ai eu quelques soucis de capillarité. Avec le mesh ou en double coil, pas de souci, mais en simple coil coton, j’ai eu des débuts de dry hit difficiles à régler.

Ce qui se passe, c’est qu’avec le montage coton en simple coil, on a envie de monter un peu les watts, et si on enchaîne les barres, la mèche n’a pas le temps de faire remonter le liquide jusqu’en haut du coil. On ne prend donc pas un dry hit franc, mais un demi dry hit du haut du coil. Il faut alors faire une pause et squonker un peu pour aider le liquide à monter sur le plateau, ou rajouter une goutte sur la mèche.

C’est pas génial, donc j’ai essayé plein de montages pour trouver les variables à ajuster : j’en ai trouvées trois.
– La première, c’est de se résoudre à baisser la puissance : à 15 W ça fonctionne très bien. Mais la vape est très bonne à 20 W en simple, c’est frustrant !
– La deuxième, c’est de faire des spires espacées : il y a du coup plus de coton et plus de liquide dans le coil et ça marche mieux, mais ce n’est pas en core parfaitement fiable.
– La troisième, c’est de faire des pompes en mesh. Comme pour le montage genesis, on fait une  paille de mesh, plus courte, pour qu’elle affleure juste sur le plateau. Sur le coil on fait une mèche de coton, plus courte, que l’on pose juste sur la paille de mesh : elle reste bien mieux humectée. Cette solution marche bien dans la durée.

Petites observations ursidées

Les ours vapent-ils en coton, en genesis ou les deux ?

Le Genny v2 marche très bien avec un montage coton, aux conditions évoquées quand on l’utilise en simple coil. Mais il existe des tas d’atomiseurs qui fonctionnent bien avec des montages coton, sans poser de problème. Donc, pourquoi utiliser un atomiseur un peu difficile avec le coton alors qu’il marche parfaitement en genesis ?

La réponse est dans la question : les ours vapent en genesis. Le Genny V2 est conçu pour ça, ces atomiseurs sont rares aujourd’hui, et c’est une bonne raison de le choisir.
La vape est originale, différente, la puissance est limitée, les saveurs sons délicates, sophistiquées, les ours aiment cette vape. C’est que, dans leurs corps de brutes, ce sont en fait de grands délicats.

Petites observations ciblées

À qui s’adresse donc cet atomiseur ?

Par sa vape, il s’adresse à ceux qui aime la vape tranquille, MTL ou DL mais modérée, entre 10 et 15 W en simple, et entre 20 et 30 W en double. Il offre une vapeur délicate, aérée : le hit est sensible mais pas agressif, et les saveurs sont très bien restituées, à sa manière originale.

Par sa construction, il s’adresse aux geeks ou a ceux qui vont le devenir : il n’est pas facile à monter et il invite à expérimenter. On peut par exemple envisager un montage câble (je n’en avais pas, sinon j’aurais essayé !). On peut passer plusieurs semaines à tester des montages sur un atomiseur pareil, c’est pour un geek, c’est une qualité devenue rare !

Il s’adresse donc à des geeks attachés à une vape délicate. Il se trouve que l’on pourrait le ranger dans cette catégorie, et comme j’ai déjà des atomiseurs MTL qui me satisfont pleinement, c’est en DL et en double coil genesis que je lui trouve le plus d’intérêt. J’ai un bon volume de vapeur, les saveurs sont aussi bonnes qu’en simple coil et il conserve cette spécificité de la vape genesis un peu sèche ; avec des liquides un peu sophistiqués, c’est une merveille.

En résumé

On aime

  • La qualité de vape, délicate et différente
  • Les dizaines de configurations possibles
  • Le réducteur de chambre, indispensable en simple coil
  • Le côté mécano artisanal, bien construit.
  • La proposition de vape genesis en 2018

On n’aime pas

  • La difficulté des montages, mais ce n’est pas un défaut pour tout le monde, c’est aussi un défi à relever !

Conclusion

5 /5
 

Le Genny V2 est un atomiseur qui sort du lot. En cela, il mérite son 5/5 parce qu’il propose une vape différente, précise et délicate. Mais il ne conviendra pas à tout le monde, d’abord parce que sa vape est modérée, même s’il peut être vapé à 30 W, et surtout parce qu’il est techniquement exigeant : il ne peut intéresser que les curieux qui n’ont pas peur de passer quelques heures à apprendre le montage genesis et les ajustements qu’il exige. Mais ceux qui feront l’effort de le comprendre seront récompensés par une vape unique, exceptionnelle au sens propre.

 

Le Genny V2 de Bear Lair Mods en images

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