Suite au nouveau partenariat signé par l’entreprise ayant racheté So Good, la marque ne manque pas de rappeler à quel point ses produits sont de qualité et extraordinaires.
Pour une expérience de vape exclusive, c’est au bureau de tabac qu’il faut se rendre
Vous souvenez-vous de So Good ? Mais si, vous savez, la marque d’e-liquide (N.D.L.R. Vendue chez les buralistes) qui se vantait, il y a maintenant 3 ans, d’être tellement la meilleure que si tous les fabricants d’e-liquides français étaient contrôlés, elle resterait « seule sur le marché ». Allez, histoire de vous rafraîchir un peu la mémoire, voici un extrait de notre article de l’époque, qui relatait les dires, disons… surprenants, de l’un des deux gérants de l’entreprise, Cédric Lacouture :
Étant moi-même une personne relativement orgueilleuse, je peux comprendre que l’on ait une certaine estime de soi-même, ou de son entreprise. Mais bon, quand même, de là à se dire au-dessus que tout le monde, même moi qui suis pourtant le meilleur, je n’ose pas. Enfin, qu’importe, après tout, c’était il y a 3 ans, et de l’eau a coulé sous les ponts.
Depuis ce court épisode de folie, nous n’avions plus entendu parler de So Good jusqu’en 2020, année durant laquelle l’entreprise était rachetée par Republic Technologies International (RTI), société spécialisée dans… les accessoires pour fumeurs.
Fort heureusement, en cette période pour le moins morose, RTI nous gratifie d’un communiqué de presse dans lequel il annonce son nouveau partenariat avec la SAF, qui se présente comme « la référence en matière de commercialisation et de distribution de produits pipiers en France ». Un communiqué qui réussirait à faire décrocher un sourire à n’importe qui connaissant le sujet.
So Good, un petit excès de confiance ?
Après que Wilfrid Thomas, directeur marketing de la SAF, ait expliqué que ce partenariat permettra à Republic Technologies International de renforcer sa capacité à répondre aux attentes du marché, Olivier Partouche, directeur général de So Good, fait irruption afin de donner quelques précisions.
Il explique que la signature de ce contrat s’inscrit dans le souhait de développer So Good et d’en faire « la marque de référence des produits de vapotage Premium au sein du réseau des buralistes ». Ouf, si le réseau des buralistes n’avait pas été cité en fin de phrase, on aurait presque pu faire un second infarctus après celui de 2018.
Mais si la communication de l’entreprise semble avoir quelque peu progressé, le moins que l’on puisse dire c’est qu’Olivier Partouche semble avoir conservé cette fierté qu’avait Cédric Lacouture lorsqu’il parlait de la marque 3 ans auparavant. Parce que oui mesdames et messieurs, ce partenariat entre la SAF et RTI permettra également à So Good de « poursuivre le développement de son offre de e-liquides Premium, en accentuant son travail aromatique et gustatif afin d’offrir une expérience de la vape encore plus exclusive ».
Cet article n’engage que le point de vue de son auteur et ne représente pas forcément l’avis de la rédaction.
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