Un récent sondage réalisé pour une mutuelle étudiante révèle que près d’un étudiant sur 5 considérerait que la cigarette électronique représente une réelle aide au sevrage tabagique.
24 % des étudiants seraient fumeurs
L’enquête, réalisée dans le cadre du #MoisSansTabac, est conduite chaque année par la mutuelle afin de « faire le point sur les étudiants et lycéens fumeurs ».
Les trois quarts souhaiteraient arrêter de fumer
Si l’on en croit les déclarations des répondants, « plus des ¾ souhaitent arrêter de fumer ».
Tandis que 57 % invoqueraient des raisons liées à la santé afin de justifier leur volonté d’arrêter le tabac, 52 % admettraient que son coût fait partie des raisons qui les poussent à vouloir s’en sevrer, alors que 25 % d’entre eux avanceraient des raisons esthétiques (dents jaunes etc).
Plus intéressant encore, alors que 60 % des interrogés déclareraient que la « volonté seule » leur suffirait à arrêter de fumer, 17 % penseraient que l’hypnose pourrait les y aider, tandis que 19 % reconnaîtraient que la cigarette électronique pourrait représenter une réelle aide afin d’arrêter de fumer.
Étonnement, ce sont les étudiants vivant dans le Nord-Est et le Sud-Est du pays qui reconnaîtraient en plus grand nombre que la vape peut être une aide au sevrage tabagique, avec respectivement 27 et 25 % de réponses allant en ce sens.
Les habitants des régions Sud-Ouest et Nord-Ouest répondraient quant à eux en majorité que c’est l’hypnose qui représentait la meilleure aide ( 33 et 19 %), tandis qu’en Île-de-France, le patch arriverait en première position (16 %).
Difficile toutefois de trouver de réelles explications à de telles disparités.