Votre enfant vapote-t-il ? Publié sur un site spécialisé, un billet donne cinq indices pour ne pas passer à coté …
Attention aux objets qui ressemblent à des stylos !
Les parents qui ne trouvent pas d’objets associés aux odeurs peuvent suspecter le vapotage
Yahoo Parenting livre des recommandations aux parents à travers des articles consacrés à différents sujets. Un billet portant sur la cigarette électronique a été publié il y a quelques jours sur cette plateforme, il doit aider les parents à savoir si leurs enfants vapotent. Si les premiers critères semblent tenir debout, on est en revanche beaucoup plus étonné à la lecture des autres caractéristiques évoquées par le contributeur.
D’une part, il conseille aux parents d’être vigilants quant aux odeurs que peuvent dégager leurs enfants. Ils peuvent suspecter du vapotage s’ils identifient des odeurs de bonbons, de chewing-gums ou de fruits… alors qu’ils ne parviennent pas à trouver dans leurs chambres à coucher des produits associés à ces arômes. D’autre part, ils doivent savoir que les cigarettes électroniques s’apparentent à des clés USB, des stylos ou objets qui y ressemblent, avec des trous de part et d’autre de la vapoteuse.
Le contributeur explique ensuite que les utilisateurs de cigarettes électroniques ont tendance à boire beaucoup plus, qu’ils ont pour point commun d’avoir la peau plus sèche à cause de ce produit. En outre, il affirme que le vapotage est à l’origine de saignements du nez, car l’e-cigarette serait coupable d’assécher les voies nasales, comme elle est stigmatisée pour assécher la bouche selon lui. Il conclut avec un cinquième signe censé alerter les parents, la cigarette électronique serait une porte d’entrée vers la caféine, ils ont ainsi tout intérêt à s’inquiéter si leurs enfants se mettent à boire du café ou du Red Bull…
Pour compléter ces signes, nous souhaitons vous faire part d’un dernier signe évocateur d’un possible vapotage : si votre ado ne sent plus le tabac, il est possible qu’il ait choisi la vape pour arrêter de fumer. En effet, les études montrent que, jusqu’à aujourd’hui, seuls les jeunes fumeurs utilisent régulièrement ce dispositif de réduction des risques.
