Des étudiants de l'Institut de Gestion de La Rochelle réalisent une enquête sur la cigarette électronique

Des étudiants de l’Institut de Gestion de La Rochelle réalisent une enquête sur la cigarette électronique

J’aime bien aider les étudiants car il y a toujours du dynamisme et de l’énergie derrière chacune de leur action. J’ai reçu récemment sur ma page facebook, un message d’Alexandre, un étudiant de l’Institut de Gestion de La Rochelle, qui demandait si des vapoteurs seraient partant pour répondre à son questionnaire, conçu dans le cadre de son mémoire.

L’intitulé du mémoire est “Maux de la société et politique de marketing social en vigeur, en faveur de l’apparition de la cigarette électronique sur le marché“.

Le titre est peu bancal je vous l’accorde, et je vois déjà les vapoteurs révoltés contre l’Union européenne se dire qu’il en est assez de cette main mise commerciale sur le produit qui leur a sauvé la vie, qu’il ne s’agit pas là d’un problème commercial mais humain avant tout.

Mais voilà, vue de l’extérieur, je peux comprendre que la cigarette électronique fasse l’objet des interrogations les plus diverses. C’est un produit en vogue, dont la propagation fonctionne selon un schéma social bien particulier : le voisin transmet à son voisin. Les campagnes de prévention du tabagisme utilisent à ma connaissance une forme de marketing social, mais n’ont jamais jusqu’à présent abordé les méthodes de réduction des risques, en fait c’est tout le contraire : on pousse le fumeur à arrêter en le punissant (financièrement, socialement, graphiquement …)

Si j’ai bien compris le sujet du mémoire d’Alexandre n’est donc pas si bête à mon sens, même si le terme “marketing social” est peut être un peu trop exagéré ici. Les vendeurs de cigarette électronique (les seuls à en faire aujourd’hui la promotion) ont beau avoir un compte Facebook et Twitter, j’ai le sentiment que le marketing social est loin d’être représentatif des méthodes qu’emploient nos petits vendeurs français et jusqu’à présent, je n’ai pas eu vent d’une soirée Dolce Gabbana sponsorisée par le professeur Dautzenberg et Clopinette. Je blague.

Alors au delà d’être sympa en répondant au questionnaire d’Alexandre, quel intérêt avons-nous de se prêter au jeu ? Et bien je pense que la récolte des telles données pourraient s’avérer utiles pour la communauté des vapoteurs car il est toujours intéressant de pouvoir statistiquement se prononcer sur des profils, des comportements et des attitudes.

Aidons Alexandre et ses amis à obtenir leur diplôme et publions leurs résultats

J’y vois deux intérêts dans ce questionnaire :

  1. aider Alexandre et ses camarades (Teddy, Alex, Olivier) à récolter assez de données pour faire un joli mémoire
  2. publier ensuite leurs résultats statistiques et conclusions afin que les médias en apprennent encore un peu plus sur les vapoteurs

Le questionnaire est composé de seize groupes de questions comportant en tout 48 questions. Comptez une dizaine de minutes pour répondre à toutes les questions. Aucune information personnelle n’est demandée.

Questionnaire sur la cigarette électronique (48 questions – anonyme)Répondre au questionnaire

A propos du questionnaire

Le mémoire de nos étudiants en gestion s’articule autour d’une étude qualitative (16 personnes interrogées) et d’une étude quantitative composée de ce questionnaire.

Comme l’indique Alexandre “le mémoire se base en premier lieu sur un Etat de l’Art avant de rentrer dans la partie “Terrain” avec les études qualitatives et quantitatives. Nous aimerions ainsi atteindre 500 répondants au minimum pour le questionnaire.

Sachant que vous êtes actuellement 3000 à visiter chaque jour ma-cigarette.fr, je pense que nous avons facilement les moyens de satisfaire les attentes de nos investigateurs.

Alors à vos claviers ! Quoi de plus agréable finalement, que de parler de nous mêmes ?

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