Cette fois, nous restons en France, plus précisément à Bourges, dans le Berry, où nous avons rencontré Lilium’Vap, youtubeur de longue date, qui dispose également d’un compte Insta où il distille de jolis clichés.
Bonjour Lilium’Vap, pour ceux qui ne vous connaissent pas encore, pouvez-vous vous présenter ?
J’ai fraîchement 46 printemps au compteur et suis responsable informatique au sein d’une grosse structure privée. Pacsé, sans enfant. Enfin si, un merveilleux beau-fils que j’eus le plaisir d’accompagner vers la vape alors que la cigarette lui ouvrait grand les bras. Je vis dans cette magnifique région que l’on nomme le Berry, dans la merveilleuse cité de Bourges.
Comment avez-vous découvert la vape ?
C’était il y a une petite dizaine d’années, alors que je passais une soirée chez mon frère cadet. Je portai pour la première fois à mes lèvres une e-cig. Celle-ci ressemblait à une cigarette blonde bien connue au filtre jaune et dont l’extrémité s’allumait de rouge lorsque l’on tirait dessus. Je fus très enthousiaste quant aux nombreuses similitudes avec le fait de fumer. Le geste, aspirer et recracher de la “fumée”. Et le plus frappant fut que je n’allumai plus aucune clope dans les heures qui suivirent. L’e-cig venait de faire son œuvre et une nouvelle page merveilleuse allait s’ouvrir devant moi.
Vous faites partie des youtubeurs pionniers de la vape, quand avez-vous débuté ?
En 2014, j’ai donc une eGo Deluxe Edition au bec et je traîne mes guêtres au seul vape shop du coin. J’y croise la route de Miallyev, reviewer déjà bien en place. Une amitié se crée et de fil en aiguille, et il me met le pied à l’étrier. Ce qui n’était qu’une plaisanterie débouche sur la création de la chaîne YouTube Lilium’Vap et son succès international non égalé à ce jour (sourire).
Dans quel esprit vous êtes-vous lancés sur YouTube ?
Dans un état d’esprit absolument désintéressé, plus apte à me faire marrer et faire marrer mon auditoire. Et puis, lier l’utile à l’agréable tout en parlant vape et BD, était un concept qui me correspondait tout à fait.
Pourquoi êtes-vous passé sur Instagram ?
Ah, le sujet touchy ! Je suis passé sur Insta, car il s’agit avant tout d’un merveilleux outil de communication. Et puis, rester essentiellement sur YouTube et Facebook, cela faisait tout de même bien boomer. Plaisanterie mise à part, on s’aperçoit que l’audience sur Facebook n’est plus ce qu’elle était il y a encore 5 ou 6 ans. Si l’on veut faire entendre son discours et partager son expérience, Insta est un formidable outil. À condition que le discours soit honnête. Je ne vends pas de pilules miracles, moi. Je ne vends rien, d’ailleurs.
Quel est le but de votre compte ?
Ce qui n’était qu’un relais de ce que je postais sur YouTube et Facebook est devenu par la force des choses mon nouvel outil principal de communication. Avec la censure subie sur ma chaîne YouTube, il me fallait trouver un nouveau support. Instagram l’est devenu. Ma petite communauté sur Insta est réactive, curieuse, tolérante et bienveillante. es commentaires et les messages privés reçus sont toujours positifs. Le but est simple, continuer à partager mon expérience de vapoteur lambda, dénicher et mettre en lumière un jus ou un matos que j’ai kiffé, sans exergue ou flagornerie.
Depuis quand vous intéressez-vous à la photographie ?
J’ai débuté la photo avec un Olympus OM20, sur des péloches Ilford N&B 400ASA et cela remonte au lycée ! J’étais en études de théâtre (mon autre passion – mon métier pendant quelques années) et je partageais cette passion avec les potos en études d’arts plastiques. Toute une époque !
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