Convaincue qu’une sensibilisation sur les bénéfices du vapotage pousserait un plus grand nombre de fumeurs à adopter cette alternative, l’IBVTA (1) estime qu’il est temps de passer à l’action et s’en explique. Un message que l’association adresse aux fonctionnaires et responsables de la santé publique et un constat qui l’a décidé à soutenir la campagne Stoptober cette année.

Les éditions précédentes avaient été modérément ouvertes à la vape. Cette année, l’agence de santé anglaise (PHE) a décidé que la campagne recommanderait explicitement vapotage comme alternative au tabac. Dans ces conditions explique l’IBVTA dans un communiqué “il était de notre devoir d’accueillir l’approche du PHE et de soutenir leur soutien de la vape” (sic).

Les professionnels britanniques espèrent voir s’inverser la perception négative des fumeurs à l’égard du vapotage. En effet, malgré l’appui dont bénéficie la cigarette électronique en Angleterre, un sondage ASH/YouGov révélait cette année que la proportion de fumeurs estimant la vape tout aussi nocive voire plus nocive que le tabagisme est passée de 9 % à 22 %. C’est notamment dans l’espoir de rétablir ces perceptions erronées que l’IBVTA a convenu d’être partenaire de Stoptober.


(1) IBVTA : Independent British Vape Trade Association

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